Portrait de Marie-Ange Sebasti.
Image, G.AdC
« Vous étiez immobile, dans la sérénité insulaire, à vivre pour l’instant, à suspendre votre angoisse, à faire naître un sourire.
Les continents étaient loin. »
Marie-Ange Sebasti, « Sursis », Paroles pour une île, Promotion et Édition, 1967, page 54.
« Et même si les îles
sombraient dans les brumes
Il y aurait encore des veilleurs
pour scruter leur halo »
Marie-Ange Sebasti (texte) et Monique Pietri (photographie), Corse, dans le chalut des jours, Éditions de l'Envol, Forcalquier, 2001, p. 24.
Pour en savoir plus sur Marie-Ange Sebasti, voir le Portrait que j'ai rédigé sur Terres de femmes.
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