Avant-propos Vieux rêves de mes enfances, la Chine ancienne a disparu. Au cours de son récent voyage au pays des peintres et des calligraphes, Guidu Antonietti di Cinarca a promené pour moi son regard de poète sur les murs et les lignes de l’Empire du Milieu. Davantage soucieux de quintessence que de réel, le photographe de Terres de femmes a rapporté de son séjour les Rouges de Chine. À l’orée de l’automne, dans le lent déroulé de ses lumières et de ses ors, le désir m'est venu d’ouvrir avec lui les pages de ce nouvel album. La mémoire de mes mots, en écho intime à ses photos. Angèle Paoli |
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