<< Mon poème du samedi
Dans le clair-obscur de la page voilà que tu t’appliques à attraper le temps aujourd’hui pas dans ta vie à côté en retard tu montes tu descends où la lumière fuit
Ph., G.AdC
Ph., G.AdC
Je me penche alentour au-delà de la cage nimbée de blanc nimbée de noir lumière des jours clairs enclose au lent revers d’un passé sans ombrage cachée dans le dessin clair-obscur de la page je nage à la nuit presque au-delà du jour caresse de candeur et ma douce insolence se grise de parfums clair-obscur sans outrage sagement divaguant à l’ombre de la page.
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