Septembre cogne plus fort et se tend Septembre cogne plus fort et se tend tambourinage sur les bogues battements d’ailes dans les feuilles : l’intensité déboule avec son nom c’est de terre que montera un trille aigu c’est du ciel que plongera grave un chant de gorge
éphippigère grand corbeau] Ramier défie le lent élan claquant de l’aile puis plane Sous l’alouette lulu dégringolant sa flûte labile Il n’y aurait finalement que ça au monde et toi Puis les vents chassent les chants charriant mer comme menace mais c’est encore l’heure sublime : le sphinx (que je suis) retrouve la voie pourpre du calice
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FABIENNE RAPHOZ Image, G.AdC ■ Fabienne Raphoz sur Terres de femmes ▼ → Géologie (extrait de Blanche baleine) → Procellariiformes (extrait de Jeux d’oiseaux dans un ciel vide) → Parce que l’oiseau (note de lecture d’AP) → Terre sentinelle (note de lecture d’AP) → [Qui voit ?] (extrait de Terre sentinelle) → Ce qui reste de nous ■ Voir aussi ▼ → (dans le Carnet d'Eucharis n°28, mai/juin 2011) une lecture de Jeux d’oiseaux dans un ciel vide par Tristan Hordé → (sur ViveLesCouleurs, le blog des ateliers Dominique Hordé) un autre extrait de Jeux d’oiseaux dans un ciel vide : Columbiformes, de Fabienne Raphoz |
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