RIEN NE NOUS PRÉCÈDE (extrait) Rien ne nous précède le ciel se retira la terre se fit vide d’un sens dans l’autre par ces abîmes seule la lumière d’une première scène seuls les bandeaux s’y immiscent et l’imagination d’un plein été […] Silence des étés à peine la couleur jaune et des sons traversent les lieux corps noué sur un songe comme sur une mer *** Neige un trou noir se creuse et une forme, une ombre sur ce silence continuerait de battre et d’apparaître cela à n’importe quel moment à ce seuil du désir le corps tombe |
FABIENNE COURTADE Source ■ Fabienne Courtade sur Terres de femmes ▼ → Table des bouchers, poésie (lecture d'AP) → suffoquer prendre cette douleur (extrait de Table des bouchers) → 19 août 2004 | Fabienne Courtade, le cœur bat très vite → [le fleuve s’entend au loin] (extrait de Corps tranquille étendu) → (dans l'anthologie poétique Terres de femmes) poème inédit [sans titre] ■ Voir aussi ▼ → (dans la Poéthèque du site du Printemps des poètes) une notice bio-bibliographique sur Fabienne Courtade → (sur remue.net) « Il faut poursuivre… ». Entretien avec Fabienne Courtade, par François Rannou |
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