Ph., G.AdC [ÉCRIRE] écrire c’est fixer la page blanche le souffle comme une parole en suspens que le silence se mette à notre écoute et notre parole entre dans l’obscur nous restons confrontés à l’énigme qu’en vain nous tentons d’élucider reprendre alors les mots au noir de la nuit quelques-uns résistent au fil du temps devenus pierres d’obsession éparpillées en des rivages aveugles Amina Saïd, Dernier visage avant le noir, éditions Rhubarbe, 2020, page 24. Illustration de couverture d’Ahmed Ben Dhiab. |
AMINA SAÏD Ph. Michel Durigneux Source ■ Amina Saïd sur Terres de femmes ▼ → alors au pied d’un arbre (extrait de Tombeau pour sept frères) → amour notre parole (extrait de De décembre à la mer) → [de ce côté-ci du monde ou de l’autre](extrait de Clairvoyante dans la ville des aveugles) → Du Vieillard de la mer et de la Source de vie (extrait du Corps noir du soleil) → enfant moi seule (extrait d’Au présent du monde) → Jusqu’aux lendemains de la vie (extrait de L’Absence l’inachevé) → l’élan le souffle le silence (extrait de La Douleur des seuils) [+ une notice bio-bibliographique] → [si long fut l’exil du jour](extrait de Chronique des matins hantés) → Les Saisons d’Aden (note de lecture d’AP) → (dans la galerie Visages de femmes) le Portrait d’Amina Saïd ■ Voir aussi ▼ → (sur le site des éditions Rhubarbe) la fiche de l’éditeur sur Dernier visage avant le noir → le site d’Ahmed Ben Dhiab |
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