v</FONT SIZE></FONT COLOR>ient le temps du fléchir dans un velours de mémoires tactiles
estran des ombres où la vie recommence laisses où la peau se souvient taches mouvements terre chaude ou froide selon les restes d’une nuit inassouvie
territoires
c’est loger sous l’aile d’une chouette sentir les plumes sous les yeux le coton cendré
se souvenir des mouillages incertains des plongées nécessaires</FONT SIZE>
Jean-Marc Barrier, Noir estran, éditions La tête à l’envers, collection fibre·s, 2020, s.f. Peintures de Géry Lamarre.</FONT COLOR>
JEAN-MARC BARRIER</FONT COLOR>
Source
■ Voir aussi ▼
→ (sur le site des éditions La tête à l’envers) </FONT COLOR>une notice bio-bibliographique sur Jean-Marc Barrier → (sur le site des éditions La tête à l’envers) </FONT COLOR>la fiche de l’éditeur sur Noir estran → </FONT COLOR>le site de Jean-Marc Barrier
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