[UN SEUL PAYS NATAL] Un seul pays natal Une seule langue maternelle Le poème *** Si tout ce que je touche pouvait s’envoler Le monde serait plus léger Le monde se changerait en oiseau *** Quelque chose gratte à la fenêtre lumière et pluie Le ciel demande à entrer dans la maison *** Je t’espère même en plein jour La lumière ne chasse pas les fantômes *** Ma solitude est un paysage Peut-être alors ne suis-je pas tout à fait seule *** Enlacés sur la treille la vigne et le jasmin se disent des fleurs tendres *** Chaque nouveau jour comme un étranger Il a beaucoup à m’apprendre |
ESTELLE FENZY Ph. Tous droits réservés ■ Estelle Fenzy sur Terres de femmes ▼ → [Je n’ai jamais dit adieu] (poème extrait du Chant de la femme source) → [Faire fi(n) | de l’exiguïté du temps] (poème extrait de Coda (Ostinato)) → Man’za (poème extrait de Gueule noire) → La Minute bleue de l’aube (lecture de Murielle Compère-Demarcy) → [Rêve silex] [poème extrait de Chut (le monstre dort)] → [Mon tablier déborde de prières](extrait de Mère) → [Père, | tu le sais](extrait de Par là) → Poèmes Western (lecture d’AP) → [Retrouver la neige](extrait de Poèmes Western) → Rouge vive (lecture d’Isabelle Lévesque) → Rouge vive (lecture d’AP) → Sans (lecture d’AP) → [Toi les yeux moi la voix] (extrait de L’Entaille et la Couture) ■ Voir aussi ▼ → (sur le site des éditions La Part Commune) la page de l’éditeur sur La Minute bleue de l’aube |
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