[LES MOTS COGNENT] Les mots cognent la tête déchirent les rêves d’un refuge Les murs restent si hauts Là-bas Toujours s’éloigne Bethani BETH ANI Le vent souffle Inlassable sur ces lettres de feu Cet été sera-t-il le dernier sans revoir la maison ? Retrouver Bethani Une course au goût de sel Sur les rives éloignées des dunes trébucher seulement Sous le cri des chameaux le poids des corps se dépose flaques d’ombres brisées à chaque pas Les larmes sont de joie en lames à nos chevilles. Nommer Bethani dans le chant Écho d’un son |
MARTINE – GABRIELLE KONORSKI Ph. D.R. Pascal Therme Source ■ Martine – Gabrielle Konorski sur Terres de femmes ▼ → Bethani (lecture d’AP) → Instant de Terres (lecture de Marie-Hélène Prouteau) → « Un point ouvert » (extrait d’Instant de Terres) → un autre poème extrait d’« Un point ouvert » (Instant de Terres) → [Au versant de la pierre-écritoire] (extrait de Je te vois pâle… au loin) → Verticale (extrait d’Une lumière s’accorde) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) [Vissée à la plante des pieds] ■ Voir aussi ▼ → (dans la poéthèque du site du Printemps des poètes) une notice bio-bibliographique sur Martine Konorski → le site de Martine Konorski |
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