« Les fleuves résonnent l’un dans l’autre paraissent s’entrelacer l’un l’autre » Ph., G.AdC A FOLYÓK A folyók egymásba hangzanak És egymás körül látszanak Elhagyva saját alkonyukat A hontalan pályán A megfoghatatlan ügetésen Most és még sokáig. LES FLEUVES Les fleuves résonnent l’un dans l’autre paraissent s’entrelacer l’un l’autre abandonnant leur propre déclin sur un champ d’exil sur un galop imprenable maintenant et pour longtemps encore. Sándor Weöres, lányok, lepkék, fellegek | filles, nuages et papillons, éditions érès, Collection Po&psy princeps, 2019. Poèmes choisis et traduits du hongrois par Cécile A. Holdban. Encres d’Annie Lacour. |
SÁNDOR WEÖRES Source ■ Sándor Weöres sur Terres de femmes ▼ → Infinitivus (poème extrait de Ének A Határtalanról [Chant sans limite]) → Rongyszőnyeg (14) [+ une notice bio-bibliographique rédigée par Cécile A. Holdban] |
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