[TROP VIF LE SOLEIL] Trop vif le soleil au bord de nos yeux attendre le crépuscule qui bat des cils quand la voix veut advenir De ses yeux rhénans au fond du fleuve quand l’or du mythe s’est évaporé le silence nous dévisage Zu grell die Sonne in unseren Augen die Dämmerung erwarten die Wimpern blinzeln wenn die Stimme eintreffen will Aus ihren Rhein-Augen tief im Fluss wenn der Mythos Gold verdunstet ist starrt uns die Stille an Muriel Stuckel, Petite Suite Rhénane | Kleine Rhein-Suite, éditions Philonar, 2016. Traduction d’Eva-Maria Berg. Eaux-fortes de Liliane-Ève Brendel. |
MURIEL STUCKEL ■ Muriel Stuckel sur Terres de femmes ▼ → Dans la césure de tes poèmes (extrait de L’Insoupçonnée ou presque) → [Demeure précaire] (autre extrait de L’Insoupçonnée ou presque) → [Sous le pas d’une ombre vive] (autre extrait de L’Insoupçonnée ou presque) → La poétique des failles chez Muriel Stuckel (Chronique d’Isabelle Raviolo) → [Ce n’est pas tant] (extrait d’Eurydice désormais) → Le risque de la poésie (autre extrait d’Eurydice désormais) → [Sous la courbe de la phrase] (extrait de Du ciel sur la paume) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) La poésie échappée ■ Notes de lecture de Muriel Stuckel sur Terres de femmes ▼ → Jacques Estager, Douceur → Gunvor Hofmo, Tout de la nuit est sans nom → Stéphane Sangral, Circonvolutions |
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