SERGE PEY Ph. D.R. Source ■ Serge Pey sur Terres de femmes ▼ → Le poème est une oreille (extrait de La Main et le Couteau) ■ Voir aussi ▼ → le site officiel de Serge Pey |
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SERGE PEY Ph. D.R. Source ■ Serge Pey sur Terres de femmes ▼ → Le poème est une oreille (extrait de La Main et le Couteau) ■ Voir aussi ▼ → le site officiel de Serge Pey |
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Rédigé le 30 août 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
JEAN-CLAUDE PINSON Source ■ Jean-Claude Pinson sur Terres de femmes ▼ → Là (lecture d’AP) → Gagarine de la marine (extrait d’Alphabet cyrillique) → Pastoral (lecture d’AP) → Poéthique (lecture d’AP) ■ Voir aussi ▼ → le site officiel de Jean-Claude Pinson |
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Rédigé le 25 août 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
FRANCK VENAILLE ■ Franck Venaille sur Terres de femmes ▼ → [J’avais mal à vivre] (extrait de Ça) → [Ce que je suis ?] (extrait de C’est à dire) → Dans le sillage des mots (extrait de C’est à dire) → [On marche dans la fêlure du monde] (extrait de La Descente de l’Escaut) → [Quand la lumière née de l’estuaire] (autre extrait de La Descente de l’Escaut) → Un paysage non mélancolique (extrait de C’est nous les Modernes) → San Giovanni (extrait de Trieste) ■ Voir aussi ▼ → (sur remue.net) Au plus près de Franck Venaille, par Jacques Josse |
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Rédigé le 24 août 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
TITA REUT Source ■ Tita Reut sur Terres de femmes ▼ → Tu vas au rein (poème extrait de Persiennes d’Hécate) → [Au bout de la jambe] (poème extrait de L’Invention des gestes) → [On pose la perte] (poème extrait du Temple des singes) ■ Voir aussi ▼ → (sur le site de la mél, Maison des écrivains et de la littérature) une fiche bio-bibliographique consacrée à Tita Reut → (sur le site des éditions Al Manar) la fiche de l’éditeur sur Hamada de Tita Reut |
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Rédigé le 23 août 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
JOSÉ-FLORE TAPPY Ph. © Yvonne Böhler Source ■ José-Flore Tappy sur Terres de femmes ▼ → [elle transpire l’humide la verte terre] (poème extrait de Lunaires) → [Même par poignées les allumettes] (poème extrait de Tombeau) → [Qui se penche] (poème extrait de Hangars) → [Tandis qu’un nom dans ma tête chantonne] (poème extrait de L’île in Terre battue) → Tombeau (lecture de Bernadette Engel-Roux) ■ Voir aussi ▼ → (sur culturactif.ch) une fiche bio-bibliographique sur José-Flore Tappy (+ de nombreux poèmes) → (sur Le Courrier) un article de Marc Gueniat sur José-Flore Tappy (au lendemain de la remise du Prix Schiller) → (sur asymptote) une notice bio-bibliographique (en anglais) de John Taylor sur José-Flore Tappy (+ plusieurs poèmes) |
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Rédigé le 21 août 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
À L’OMBRE DU MURIER Translucide et mouvante grotte de jade, le mûrier-platane aux feuilles ciselées t’offre l’abri amphibole de ses ombres tremblantes d’où jaillit l’éclat sourd des mûres couleur d’encre de Chine Assise dans son ombre tu les guettes Elles brillent puis disparaissent selon le rayon qui les frappe sous le frisson des feuilles et leur soie sombre au fiévreux vent d’été Noires et longues comme des scarabées — naguère, l’un s’envola, ombre sur ombre, entre les doigts surpris — et poisseuses et sucrées, elles tachent les doigts et les coins de la bouche d’une encre parfumée Encore une, puis une — sur la pointe des pieds tu moissonnes des doigts un infini stellaire sous la voûte nocturne du mûrier-platane bruissant de guêpes blondes tournant autour du tronc comme un mât de navire, l’axe d’un monde qui t’englobe t’emporte dans un voyage à rebours un voyage en soie un retour au fond de soi Le mûrier est ancre de Chine et le poète-cueilleur d’ombre cueillant les mûres couleur d’escarbot — plonge aux antipodes de ce monde où les mots sont univoques saisit l’escarboucle flottant dans les grands fonds où le rêve le porte Là dans la Chine du mûrier aux infinies ramures les mots — comme des granules du fruit entre tes doigts s’agglomèrent |
MARILYNE BERTONCINI Source ■ Marilyne Bertoncini sur Terres de femmes ▼ → La Dernière Œuvre de Phidias (lecture d’AP) → [Ici… Là] (extrait de La Dernière Œuvre de Phidias) → Labyrinthe des nuits (lecture d’AP) → Mémoire vive des replis (lecture de Sophie Brassart) → [En nageant jusqu’au bout de ton rêve] (extrait de Mémoire vive des replis) → [Je l’imagine] (extrait de La Noyée d’Onagawa) → Sable (extrait) ■ Voir aussi ▼ → (sur le site de la mél [Maison des écrivains et de la littérature]) une fiche bio-bibliographique sur Marilyne Bertoncini → (sur Recours au poème) plusieurs pages sur Marilyne Bertoncini → Minotaur/a, le blog de Marilyne Bertoncini → (sur le site de la revue Traversées) une chronique de Xavier Bordes sur L’Anneau de Chillida |
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Rédigé le 20 août 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
JEANNE DE PETRICONI Source ■ Jeanne de Petriconi sur Terres de femmes ▼ → Jeanne de Petriconi | « Pour inventaire » à la galerie Una Volta (2011) ■ Voir aussi ▼ → le catalogue de l’exposition Passeghji |
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Rédigé le 19 août 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
JEAN PONCET Source ■ Voir aussi ▼ → (sur le site de la revue Texture) une lecture de Lumière du silence par Max Alhau |
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Rédigé le 18 août 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)
POESIA-SUDARIO PER GENOVA (14 agosto 2018) Il sudario si chiama sudario perché assorbe gli umori dei morti. Viene deposto sul volto, per nascondere allo sguardo dei vivi il lavorio della morte nei lineamenti amati, le enfiagioni e lo scavo finale, la riduzione all’osso, che riporta la materia conclusa di un corpo nel non finito dell’altra materia, all’indistinto delle zolle e degli astri. Il sudario è deposto per pudore sul volto, perché quel volto smetta di finire sotto i nostri occhi. Così vorrei che le parole, poiché non possono asciugare davvero neanche una goccia del vostro sangue, ricordassero almeno la vita, il celeste profondo o la rosa canina fra i paranchi che vi ha fatto sorridere per la sua ostinazione d’essere viva nel cantiere perpetuo del porto luminoso di sole morente o l’altro sole, la grandezza radiale dell’alba sollevata tra guizzi di reale come un rinascimento. Mondo contemporaneo che vai a morire tra i gabbiani delle periferie, sotto la rotazione della Via Lattea come una verde insonnia dell’universo che non ci guarda, mondo che sei questo infinito esistere che non contempla i mortali, senza nome e cognome torneremo cose tra le cose, senza involucri e senza nostalgia ritorneremo all’indifferenziato delle stelle. Ma adesso, adesso che siamo vivi Maria Grazia Calandrone (poesia inedita, 14 agosto 2018) © Maria Grazia Calandrone POÈME-SUAIRE POUR GÊNES (14 août 2018) Le suaire se nomme suaire parce qu’il absorbe les humeurs des morts. On le place sur le visage pour cacher au regard des vivants le travail de la mort dans les traits, les enflures et le creusement final, la réduction à l’os qui reporte la matière contenue d’un corps dans le non-fini de l'autre matière, à l’indistinct des mottes et des astres. Le suaire est placé par pudeur sur le visage, pour que ce visage cesse de finir sous nos yeux. Je voudrais qu’ainsi les mots, puisqu’ils ne peuvent assécher vraiment ne serait-ce qu'une goutte de votre sang, rappellent au moins la vie, le profond azur ou l’églantine parmi les cabestans qui vous a fait sourire par son obstination à être vivante dans le chantier perpétuel du port lumineux de soleil mourant ou l’autre soleil, la grandeur radiale de l’aube soulevée parmi des éclats de réel comme une renaissance. Monde contemporain qui vas mourir parmi les mouettes des banlieues, sous la giration de la Voie Lactée comme une verte insomnie de l’univers qui ne nous regarde pas, monde qui es cet infini exister qui ne prévoit pas les mortels, sans nom ni prénom nous redeviendrons choses parmi les choses, sans enveloppe ni nostalgie nous retournerons à l'indifférencié des étoiles. Mais maintenant, maintenant que nous sommes vivants Poème traduit de l’italien par Jean-Charles Vegliante D.R. Traduction inédite de Jean-Charles Vegliante pour Terres de femmes |
MARIA GRAZIA CALANDRONE Source ■ Voir aussi ▼ → le site de Maria Grazia Calandrone → Interno Poesia |
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Rédigé le 16 août 2018 | Lien permanent | Commentaires (1)
FRANCA MANCINELLI Ph. © Franca Mancinelli Source ■ Voir aussi ▼ → (sur PENS, Poesia Contemporanea e Nuove Scritture) Riparando fenditure: Libretto di transito di Franca Mancinelli. Scritto da John Taylor → le site Interno Poesia |
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Rédigé le 13 août 2018 | Lien permanent | Commentaires (0)