[IL Y A LE MENHIR] Il y a le menhir qu’on n’aura pas revu À Palombaio, pas facile à trouver, pourtant En plein milieu d’un bout de route lequel coupe À travers les oliviers. Un menhir n’est-il pas Comme un reste de civilisation dont on aurait perdu Le sens général autant Que ses façons singulières d’avoir été vivante ? Et ce morceau de pierre debout comme poussé du plus ancien passé A-t-il été important ou simple essai raté d’avoir voulu marquer Un fait qu’on a cru mémorable ? En est-il pour autant moins remarquable Même si en le regardant, |
JAMES SACRÉ Ph. © olivier roller Source ■ James Sacré sur Terres de femmes ▼ → [Dans la pointe exiguë d’un pays qui est de la campagne] (extrait d’Écrire pour t’aimer) → Je t’aime. On n’entend rien (poème extrait d’Un paradis de poussières) → Le paysage est sans légende (lecture de Tristan Hordé) → Dans le format de la page (extrait de Le paysage est sans légende) → Figure 42 (poème extrait de Figures qui bougent un peu) → Le désir échappe à mon poème → Parfois → James Sacré, Lorand Gaspar | Dans les yeux d’une femme bédouine qui regarde ■ Voir aussi ▼ → (sur le site de la mél, Maison des écrivains et de la littérature) une notice bio-bibliographique sur James Sacré → (sur Terres de femmes) | rouge | (Angèle Paoli) |
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