[DANS LA POINTE EXIGUË D’UN PAYS QUI EST DE LA CAMPAGNE] Dans la pointe exiguë d’un pays qui est de la campagne Cousue de routes vicinales et de petits bourgs, te voilà dedans, Soral ou Cartigny la fraîcheur des arbres sent bon à cause des pollens, Je promène, entre un carré de colza et des vignobles qui penchent, Un bonheur un peu rengaine qui a Des attaches fragiles Avec une enfance pas mal oubliée Tout p’tit pays plié replié, mais comme on respire ! Chaque fois que voilà du beau temps Je pense à ton sourire, Soral ou Cartigny pourtant tu connais pas. |
JAMES SACRÉ Ph. © olivier roller Source ■ James Sacré sur Terres de femmes ▼ → Le paysage est sans légende (lecture de Tristan Hordé) → Dans le format de la page (extrait de Le paysage est sans légende) → Figure 42 (poème extrait de Figures qui bougent un peu) → Le désir échappe à mon poème → Je t’aime. On n’entend rien → Parfois → James Sacré, Lorand Gaspar | Dans les yeux d’une femme bédouine qui regarde ■ Voir aussi ▼ → (sur remue.net) James Sacré/Un paradis de poussières (article de Jacques Josse) → (sur Loxias) une bio-bibliographie de James Sacré → (sur le site de Jean-Michel Maulpoix) un article de James Sacré (« Une boulange de lyrisme critique »), texte paru dans la revue Le Nouveau Recueil (éditions Champ Vallon) → (sur Terres de femmes) | rouge | (Angèle Paoli) |
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