[ON SERAIT À COUVERT SOUS LES ARBRES] on serait à couvert sous les arbres dans un sous-bois où souriraient de sombres violettes soudain rompant le silence monterait le chant d’un oiseau inconnu passereau de l’âme un instant renouée ainsi passe le nom dans le vent implacable d’un regard d’encre parfum et musique voix silencieuse du poème Alain Freixe, « Vers les jours noirs » in Vers les riveraines, Éditions L’Amourier, Collection Fonds Poésie, 2013, page 107.
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ALAIN FREIXE ■ Alain Freixe sur Terres de femmes ▼ → Vers les riveraines (lecture de Sylvie Fabre G.) → Vers les riveraines (lecture d’AP) → À l’étrangère (autre extrait de Vers les riveraines) → Bleu plié au noir → Contre le désert (lecture de Michel Diaz) → Contre le désert (lecture d’AP) → Septième pas (extrait de Comme des pas qui s’éloignent) ■ Voir aussi ▼ → (sur le site de L’Amourier éditions) une page sur Vers les riveraines → (sur Terres de femmes) Alain Freixe & Raphaël Monticelli | Chère → P/oésie, le blog d'Alain Freixe : La poésie et ses entours |
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