« un oiseau s’est ainsi posé au bord du vide » Ph., G.AdC [UN OISEAU S’EST POSÉ AUJOURD’HUI SUR TES LÈVRES] un oiseau s’est posé aujourd’hui sur tes lèvres, comme si c’était un infime tremblement de paille ou de la poussière blanche, comme si c’était l’haleine d’un songe ou un charbon de neige, un oiseau s’est ainsi posé au bord du vide, au bord de la pensée, tout au bord du silence, tout au bord d’un poème entrouvert, Yves Namur, Les Lèvres et la Soif, Élégies, Éditions Lettres Vives, Collection Terre de poésie, 20213 Castellare di Casinca, 2016, page 13. |
YVES NAMUR Source ■ Yves Namur sur Terres de femmes ▼ → [Aujourd’hui j’ouvre des livres] (extrait de Ce que j’ai peut-être fait) → Dis-moi quelque chose, « Le Printemps » → Les Lèvres et la Soif (lecture de Marie-Hélène Prouteau) ■ Voir aussi ▼ → (sur La Pierre et le Sel) une recension des Lèvres et la Soif par Pierre Kobel → (sur le site de l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique) une notice bio-bibliographique sur Yves Namur |
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