Ph., G.AdC [OÙ ES-TU ?] Où es-tu ? Hier encore nous étions ensemble à observer la lumière qui comptait nos jours. Quel est ce fleuve qui coule sans retenir une seule goutte d’eau ? Ce qui ne prend forme, ce qui devient cendre reste. Reste à jamais l’instant qui nous a unis. Demain nous confierons nos secrets aux veines du marbre, demain notre jardin se promènera dans les dédales des orangers. Issa Makhlouf, Leurs rêves endormis flottent sur les vagues, Éditions Imprévues, Collection « Accordéons », septembre 2016, pp. 5-6. Traduit de l’arabe (Liban) par Nabil El Azan. |
ISSA MAKHLOUF Ph. © Thierry Rambaud/IMA ■ Issa Makhlouf sur Terres de femmes ▼ → Au-delà de la vue (extrait de Mirages) → Issa Makhlouf, Lettre aux deux sœurs (note de lecture d’AP) → L’écriture sourit à la mort (extrait d’Une ville dans le ciel) → Les pluies des amants (autre extrait d’Une ville dans le ciel) → l’incipit de Lettre aux deux sœurs → Celui qui part, laissons-le partir (extrait de Lettre aux deux sœurs + notice bio-bibliographique) ■ Voir aussi ▼ → le site officiel d’Issa Makhlouf → (sur le site des éditions Imprévues) la page de l’éditeur sur Leurs rêves endormis flottent sur les vagues d’Issa Makhlouf → (sur Terres de femmes) « Les traversées poétiques d’Andrée Chedid » |
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