[IL AURAIT MIEUX VALU] Il aurait mieux valu que la nuit fût plus loin. Là, si près, et la vitre pour tempe, ses craquements de gel et d’étoiles font déjà plus de bruit que mes songes. De mes mains vers le feu glissent des oiseaux d’ombres. L’un après l’autre les quatre murs prennent leur tour de garde. Jean-François Mathé, Retenu par ce qui s’en va, Éditions Folle Avoine, 2015, page 21. ____________________ NOTE d’AP : Retenu par ce qui s’en va sera disponible en librairie en mai 2016. |
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