[ON A VÉCU SOUS LE VERRE] On a vécu sous le verre. La myopie. L’écart. La solitude. On griffonne l’oubli sur de larges bords. Le vent trame ses poumons d’orbe. La rue ses glissades ses masques. Le temps peut bien tomber. On est de la cire. Le sang court, libre. Philippe Leuckx, « Le sang court » in L’imparfait nous mène, Bleu d’Encre Éditions, Dinant, 2015, page 29. Prix Charles Plisnier 2018.
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