Il se trouve que Vicky n’aime guère Qu’on tente de la saillir en plein air Ph., G.AdC ÎLE Je connais certaines plages désertes Où l’on peut s’ébattre nu sur le sable La femme timide y devient diserte Et l’amant le plus fougueux harassable Il se trouve que Vicky n’aime guère Qu’on tente de la saillir en plein air Mes criques ne nous sont d’aucun secours Au mieux je l’aimerai sur la kliné Mais après le symposion on encourt La peine d’une érection inclinée Guillaume Decourt, Les Heures grecques, Éditions LansKine, septembre 2015, page 47. |
GUILLAUME DECOURT Source ■ Guillaume Decourt sur Terres de femmes ▼ → L’endroit (extrait d’À 80 km de Monterey) → Le Cargo de Rébétika (lecture d’AP) → Les Heures grecques (lecture de Sanda Voïca) ■ Voir aussi ▼ → (sur le site des éditions LansKine) la fiche de l'éditeur sur Les Heures grecques → (sur lelitteraire.com) un entretien avec Guillaume Decourt → (sur lelitteraire.com) une lecture des Heures grecques par Jean-Paul Gavard-Perret → (sur Recours au Poème) une notice bio-bibliographique sur Guillaume Decourt → (sur Recours au Poème) sept poèmes de Guillaume Decourt → (sur le site de la mél, Maison des écrivains et de la littérature) une notice bio-bibliographique sur Guillaume Decourt |
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