[CORPS ÉPARPILLÉ] Corps éparpillé au matin exsangue un endroit sans lieu paupières scellées à tâtons nos mains noyées corps aux tiges dérobé pillage d’œillets bleus et de mûriers mais les fleurs il faut le croire mais les fleurs sont la peau douce de nos secrets Mira Wladir, « L’endroit », L’Invention de la légèreté, Éditions Empreintes, CH-1022 Chavannes-près-Renens, 2015, page 26. |
MIRA WLADIR D'après une photo de Claude Labarre (Bazoches, 8 juillet 2012) Source ■ Mira Wladir sur Terres de femmes ▼ → [aux abords des bois](poème extrait de L’Exil des renards) → [ce qui fut dérobé](poème extrait d’Équilibres équestres) → [mon corps est une femme] → [peut-être] (poème extrait de Luisance) [+ notice bio-bibliographique] ■ Voir aussi ▼ → (sur le site des éditions Empreintes) la page de l’éditeur sur L’Invention de la Légèreté |
Retour au répertoire du numéro d’août 2015
Retour à l’ index des auteurs
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.