Ph., G.AdC [LA ROUTE RECONNUE DU FOND DE L’ENFANCE] La route reconnue du fond de l’enfance la porte passée ce jour entre tous les jours on attend — au travers du lit froissé à l’écoute des vagues à portée des signes tout englués de sable — je ne sais quelle tranquillité (grâce silencieuse) une ouverture de paix le rôle d’un port d’attache et puis autre chose encore le vide Il fait si sombre Je voudrais dormir Je suis comme un enfant désarmé à l’approche du soir Martine Morillon-Carreau, Poéclats (Caprice avec des ruines), Éditinter, 2015, page 47. |
MARTINE MORILLON-CARREAU ■ Martine Morillon-Carreau sur Terres de femmes ▼ → [Chant premier de la mer] (poème extrait de Pierres d’attente) → [Éteintes elles se sont éteintes] (poème extrait de Poésie L’Éclair L’Éternité) ■ Voir aussi ▼ → le site personnel de Martine Morillon-Carreau → (sur Terre à ciel) une page sur Martine Morillon-Carreau |
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