Ph., G.AdC
Pure saisie de l’absolu Ta parole précaire Ton âme incandescente Dans ce peu de nuit Pour capturer tes nuages L’effroi de l’enfance De ses couleurs insensées De son écume sauvage De sa rumeur douloureuse L’effroi de l’enfance Se griffe Dans la chair nacrée De ta poésie constellée De si hautes larmes S’ouvrant à tous vents Allégés assoiffés illuminés De terre de mer de ciel Pure dessaisie de l’éphémère Si intense si instante Ta musique d’éternité […] Muriel Stuckel, Dans la césure de tes poèmes in L’Insoupçonnée ou presque, Voix d’encre, 2013, page 59. Peintures de Laurent Reynès. Préface de Bernard Noël. |
MURIEL STUCKEL ■ Muriel Stuckel sur Terres de femmes ▼ → La poétique des failles chez Muriel Stuckel (Chronique d’Isabelle Raviolo) → [Sous le pas d’une ombre vive] (autre extrait de L’Insoupçonnée ou presque) → [Ce n’est pas tant] (extrait d’Eurydice désormais) → [Demeure précaire] (extrait de L’Insoupçonnée ou presque) → Le risque de la poésie (extrait d’Eurydice désormais) → [Sous la courbe de la phrase] (extrait de Du ciel sur la paume) → [Trop vif le soleil] (extrait de Petite Suite Rhénane | Kleine Rhein-Suite) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) La poésie échappée ■ Voir aussi ▼ → (sur le site des éditions Voix d’encre) la fiche de l’éditeur sur L’Insoupçonnée ou presque → (sur Terres de femmes) Béatrice Douvre | l’Outrepassante ■ Notes de lecture de Muriel Stuckel sur Terres de femmes ▼ → Jacques Estager, Douceur → Gunvor Hofmo, Tout de la nuit est sans nom → Stéphane Sangral, Circonvolutions |
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