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Rédigé le 29 août 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)
THOMAS VINAU Source ■ Thomas Vinau sur Terres de femmes ▼ → Les gouttes (extrait de Collection de sombreros ?) → [Des ombres sur un tapis d’aiguilles de pin] (extrait de Notes de bois) ■ Voir aussi ▼ → etc-iste, le blog de Thomas Vinau → (sur Ici & Là, le blog de la Maison de la Poésie de Saint-Quentin-en-Yvelines) une lecture de La Part des nuages par Georges Cathalo → (sur etc-iste) une lecture de La Part des nuages par Roger Lahu → (sur Bricabook) une lecture de La Part des nuages → (sur le site d’Alma éditeur) une fiche sur La Part des nuages |
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Rédigé le 28 août 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)
VALÉRIE CANAT DE CHIZY ■ Valérie Canat de Chizy sur Terres de femmes ▼ → [Poésie quand le vert…] (poème extrait de Caché dévoilé) → [Je me tiens à une rampe, pour ne pas tomber] (poèmes extraits de Je murmure au lilas (que j’aime)) → Je murmure au lilas (que j’aime)[lecture d’Isabelle Lévesque] → [La clôture est autour] (poème extrait de Talisman) ■ Voir aussi ▼ → (sur Ce Qui Reste) des extraits des Pavots sortent en éventails (+ une notice bio-bibliographique) → le blog de Valérie Canat de Chizy |
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Rédigé le 27 août 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)
OLAV H. HAUGE ![]() Ph. Jan Kløvstad, Samlaget Source ■ Olav H. Hauge sur Terres de femmes ▼ → Bashô → Le pays bleu ■ Voir aussi ▼ → (sur le site des éditions érès) une fiche sur Bateau de papier → (sur Ici et là, le site de la Maison de la Poésie de Saint-Quentin-en-Yvelines) une lecture de Bateau de papier par Hervé Martin → (sur Recours au poème) une lecture de Bateau de papier par Andreea Lemnaru |
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Rédigé le 25 août 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)
STÉPHAN CAUSSE Ph. : Vincent Decorde Source ■ Stéphan Causse sur Terres de femmes ▼ → À deux pas dans le silence (lecture d’AP) → [Les lieux où je vous emmène] (extrait d’À deux pas dans le silence) → [Petite mer] (extrait de Boire le temps) → [mes lèvres balbutient] (extrait de Caresser la mer) ■ Voir aussi ▼ → (sur le site des éditions du Petit Pois) un entretien avec Stéphan Causse |
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Rédigé le 24 août 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ph., G.AdC D’UNE RIVE À L’AUTRE DE LA VIE « Ce soir, j’arrête. Ce soir, je passe à autre chose. » Didier Pobel « J’ai tant rêvé, tout dit, dans mon pays / j’ai joué du feu, de l’air et de la lyre. » Ces deux vers de Charles Cros me reviennent en mémoire à l’instant de parler du dernier livre de Didier Pobel, Un beau soir l’avenir, paru ce printemps aux Éditions La Passe du vent. Drôle de jeu car le feu est celui auquel il s’est brûlé pendant trente ans en auscultant les événements majeurs et mineurs du monde en tant que journaliste dans un grand quotidien régional ; et en reste-t-il autre chose, se demande-t-il, que des cendres dispersées au vent de cette sorte de journal informel qui relate quelques mois de sa vie, de l’été 2010 à l’hiver 2013, après un départ à la retraite vécu comme « une échappée » plus ou moins volontaire ? Drôle de jeu, oui, car aussi celui de l’air et du passage pour l’homme qui arpente ses pays et paysages du dedans et du dehors, qui tente de défroisser les plis des jours, de repasser leurs feuilles pour retrouver le visage tremblé de sa vérité. Et du passé à l’avenir, du matin lointain au soir débutant de sa vie, il cherche « le sentier perdu » où « les mots roulent » au rythme des « coups feutrés de son cœur ». La vraie quête à mener n’est-elle pas en effet pour lui qui a tant rêvé, tout dit, la quête de « cette voix qui sans cesse parlait en lui » et qui est « comme un miroir brûlant », le son enfin accordé de sa lyre ? Pas étonnant alors que résonne aussi en moi, à l’heure où j’écris, la musique de ses vers, présents ou non dans son récit… Quelle clef mettons-nous dans la serrure du temps et de la langue pour ouvrir la porte d’une vie ? Parfois un poème — de soi, d’un autre : C’est ma vie il faut que je la reconnaisse / C’est ma vie et c’est moi cette chanson faussée // Un beau soir l’avenir s’appelle le passé // c’est alors qu’on se tourne et qu’on voit sa jeunesse. Celui d’Aragon, placé en exergue de son récit autobiographique par Didier Pobel, lui donne à la fois son orientation, son ton et sa structure, chacun des vers étant l’intitulé d’une partie. La première s’ouvre par un retour en arrière sur le « mercredi 30 juin », date à laquelle Didier Pobel a quitté définitivement « le Journal ». Il utilise, comme il le fera à de nombreuses reprises par la suite, des extraits en italiques des carnets qu’il a tenus à l’époque. Il y mentionnait et commentait ce qu’il vivait ou écrivait. Cette mise en abyme lui permet une plongée dans les sentiments qui l’habitaient lors de ce départ vécu dans une sorte de « torpeur ». Or il s’agit, quatre mois après, de ranimer, par delà cet instant, ce qui a fait la réalité, heureuse et malheureuse, d’une carrière professionnelle pensée d’abord comme « une vocation » puisqu’elle avait à voir avec le désir des mots qui le taraudait. Dans le Journal, ce sont ceux qui « informent, expliquent, mettent en perspective » jour après jour la marche souvent terrible du monde qu’il utilise. Didier Pobel analyse « l’étrange mission » du journaliste faite de jeunes espérances et de vieilles désillusions. Sur un mode humoristique, souvent à ses propres dépens, il s’emploie à en dénoncer les rouages ou les effets. Il cible « la mécanique à rhétorique » de la classe médiatique et politique, « le dérisoire des mots » qui mettent sur le même plan « l’annonce messianique » de l’hiver et celle banalisée de la menace terroriste, le « Grand pschitt » des « rendez-vous décisifs » avec le peuple ou les lecteurs. Grand-messe, pseudo-révélations, et désenchantement, rébellion de celui même qui y participe mais n’est pas dupe. Chez Didier Pobel, l’humour caustique, l’ironie sans méchanceté, est un effet de la sensibilité, une protection et un recul dans les situations difficiles. Assez fréquents dans sa poésie, qui s’apparente parfois à celle d’un Jules Laforgue, ils le sont encore davantage dans sa prose. J’ai ri à lire certains passages. Il y a quelque chose de salutaire dans cette capacité à donner à voir « la pièce » et à cerner les rôles. Ici dans le théâtre d’un métier menacé, comme beaucoup, par « les consultants et les banquiers », l’informatisation et le mensonge. Dérive de la société et des hommes qui la font, le monde tel qu’il va, nous murmure l’auteur, ne peut nous faire entendre qu’« une chanson faussée » dans laquelle chacun discerne aussi sa propre voix. Et pourtant, rajoute-t-il, on peut sentir parfois « au visage un peu d’air » quand souffle le vent de la fraternité, de l’amour ou de la littérature. Car l’auteur tente, dans ce drôle de journal, de reconnaître et de retenir aussi l’essence positive de la vie en se plaçant « dans l’autre temps », non dépourvu d’attentes et d’angoisses, qui s’ouvre devant lui. Pour mieux se retourner sur le passé, vivre le présent et éclairer l’avenir à l’ombre portée de la mort, il faut encore « croire » aux hommes et aux mots, il faut « Écrire » en accueillant l’inconnu devant soi. Toute l’œuvre poétique de Didier Pobel est empreinte d’un sentiment métaphysique et d’une recherche de sens : « Le néant saute aux yeux lorsque le temps est clair », a-t-il écrit jadis dans Liaisons intérieures et autres lignes, un recueil paru chez Cheyne Éditeur en 1990... On retrouve la même lucidité dans son récit. À la retraite, fini ce qui parfois faisait écran : le brouillard dû au tourbillon des occupations quotidiennes, à l’insouciante jeunesse, à la fièvre de l’actualité permanente, à la rumeur assourdissante du monde. Il n’y a « plus de paroisse » où s’oublier. Le voilà face aux pages mal ou vite tournées de l’histoire publique ou privée et dans le souvenir ou le plaisir d’aigus bonheurs de voyages ou de lectures. Il les médite à la lumière du soir, dans la lenteur et le silence qui entrent en lui. Il « fait les comptes » et le compte de ce qui compte vraiment : la femme et les enfants à qui le livre est dédié, les parents, les amis, tel Charles Juliet, son voisin dans l’Ain, « les monuments » de livres qui l’aident à continuer ou à avancer, les noms des écrivains compagnons sur leurs couvertures, « les pays » et d’abord celui de l’enfance, charnel et mental, auquel on revient comme on revient à la source des mots et des images. Si la fontaine des années coule autrement, Didier Pobel sait bien qu’elle va tarir, que son eau deviendra de plus en plus un filet. Alors il se penche pour y abreuver encore sa langue à la présence des aimés, vivants et morts, et aux délices de campagne drômoise ou de ville berlinoise ou vénitienne. Alchimie de poète, l’eau de parole et de mémoire devient une encre qu’il voudrait indélébile mais qui un jour s’effacera, laissant seulement « empreintes d’homme, on ose l’espérer ». Le récit entier n’est-il pas d’ailleurs une déambulation qui, dans ces quatre étapes, emmêle les époques, les âges et les registres, révélant ainsi les ressorts intimes d’une existence ? Critique, révolte et humour, nous l’avons dit, mais aussi ferveur, angoisse et mélancolie, le lot commun. L’auteur cherche peut-être dans l’écriture à résoudre l’éternelle question de l’apaisement chère à Marcel Arland, autre figure tutélaire du livre. Didier Pobel, qui le lit en même temps qu’il écrit son récit, ne retrouve-t-il pas, comme lui, ses racines et ses mots dans La Terre natale ? La Bresse des années 1950-60 et celle d’aujourd’hui sont revisitées à l’aune d’une éternité dont « il ne subsiste qu’un souffle » mais si puissant qu’il faut, vie et mort, l’habiter. À Bény, la maison familiale est à nouveau le lieu où être. Elle met la chambre d’écriture, où clignote maintenant un écran à côté des livres et des carnets, dans la proximité des bois, des étangs baignés de lune et des grands prés sous la brume. Si on écoute, on peut y entendre l’écho des voix proches ou lointaines butant sur le Mont Mion couvert de neige ou sur le mur illuminé d’un « tranquille cimetière ». Chants de père et de mère, de femme, d’enfants ou d’oiseaux, qu’importe la retraite venue ou l’ombre à venir si le chant est pur, on en vient alors à penser, dit Didier Pobel, que « l’avenir a encore de beaux soirs », et des poètes pour l’exprimer. D’une rive à l’autre « la vie s’en vient la vie est là ». Puis elle s’en va. Et l’épilogue nous rappelle que c’est larmes, miracle et énigme. Sylvie Fabre G. D.R. Sylvie Fabre G. pour Terres de femmes |
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Rédigé le 23 août 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)
Source NORMALE SAISONNIÈRE (extraits) Some mist is likely to develop, especially towards the coast. Elle prend des notes en écoutant les radios anglaises en lisant les livres en regardant les télévisions sur des petits cahiers noirs à lignes sans grands ni petits carreaux. Elle note des mots des expressions et gribouille des figures des silhouettes des faces de rat et des fleurs. Parfois aussi des oiseaux ou des éléphants. Quand le temps s’y prête dans sa véranda sous le soleil plongeant. Elle étire ses jambes. Un chat ou autre se niche et ronronne et elle lui ou autre s’endorment à hauteur de nuages. Elle a deux mots nouveaux sous son oreiller. Quite chilly in the clear areas. Lorsqu’elle fatigue elle fronce davantage à la lumière. Une interrogation et de sillons se creusent à la racine de son nez. Ses paupières s’accélèrent. Le soir l’œil contraint sous la lampe elle recule l’heure du coucher plongée dans des livres ou des images. Elle survole tout et de tout peu lui reste. Qu’importe le moment passé. Tranquille elle se confronte à des mondes effrayants qu’elle tient à distance. Elle se frotte les paupières comme une lampe à huile d’où elle s’échappe. Cloudy for most parts with a little rain in places this evening and during the night. Pollen: low. Le jour où elle s’est décidée à écrire elle s’est demandé quoi qu’elle puisse dire rien de nouveau. C’est pourquoi elle ne conserve pas ou peu comme ses dessins qu’elle donne volontiers. Elle n’écrit que sur des morceaux de papier qui volent et écrits qui s’envolent. Pas de traces qui la dévoilent. Non pas qu’elle cherche à dissimuler. Mais plutôt cette pudeur que l’époque a oubliée ; mouchoirs de dentelle et tulle. Sofia Queiros, Normale saisonnière, Éditions Isabelle Sauvage, Collection présent (im)parfait, 29410 Plounéour-Ménez, 2014, pp. 52-53-67. ________________________________________ NOTE DE L’ÉDITEUR Normale saisonnière, c’est d’abord la banalité du quotidien, pourtant fait d’intimes et profondes violences… Des notations météo en ouverture de chaque page donnent le la, en quelque sorte – qui ont été entendues en anglais comme une petite musique d’accompagnement, comme la bande son de ce qui se déroule dans ces pages. Comme la météo que l’on entend sans l’entendre et qui imprègne cependant nos journées – et alimente nos conversations de rien… Ces notations sont bien le reflet d’une météo intérieure en butte à la réalité qui, bien que normale, de saison, ne peut pas l’être, normale, quand il s’agit des derniers moments du père, de la mort, de la solitude, l’enfance et la vieillesse, de l’attente amoureuse aussi bien… Par un décalage constant avec la réalité qu’elle observe, ou plutôt ressent, un décalage de peu, juste une petite distorsion (emploi d’un vocabulaire jouant dans plusieurs directions, syntaxe malmenée…), Sofia Queiros introduit dans la phrase tout un monde onirique qui sauve du quotidien et le transfigure comme comptines à chantonner – devant la peur. Une « chronique » d’une grande pudeur qui part d’un « elle » mais se laisse gagner par le « je », avec cette remarque qui est peut-être à la clé de toute écriture : « À la question qui est-elle. Je réponds que je ne sais pas. » |
SOFIA QUEIROS Source ■ Sofia Queiros sur Terres de femmes ▼ → Normale saisonnière (lecture d'Isabelle Lévesque) → et puis plus rien de rêves (extraits)[+ une notice bio-bibliographique] → [je à la pointe du jour] (extrait de Sommes nous) → Jour 13 (extrait d’Une même lunaison) |
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Rédigé le 22 août 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)
Image, G.AdC PARAPSICOLOGIA I La fiamma non fu uguale a un’altra fiamma, dicono, mai dall’ aurora dei tempi. E anche questo mare che ora senti ruggire e sospirare, ha sempre suoni diversi e altri fregi di correnti. Ma se un messaggio più lontano cerchi, un senso nuovo invéntati, fa’ come i condor, le formiche, le veggenti : sintonízzati a ciò che nel creato segretamente si è inciso e raccolto, créati l’occhio interno, e sopra il folto gioco di azzurri coglierai lamenti delle Sirene un tempo qui all’agguato, e triremi fenicie e gozzi turchi e Caronte che rema dannato. Maria Luisa Spaziani, Transito con catene (1977), in Poesie 1954-2006, Arnoldo Mondadori editore, edizione Oscar Poesia del Novecento, dicembre 2010, p. 151. PARAPSYCHOLOGIE I Une flamme ne ressemble pas à l’autre flamme, dit-on, depuis l’aurore des siècles. Et même cette mer qu’à présent tu entends rugir et soupirer, à l’infini possède des sons et festonne ses courants. Mais si tu cherches au-delà un message, invente pour toi un sens nouveau, imite les condors, les fourmis, les voyantes : règle tes ondes sur l’univers secret avec ce qui s’y grave et s’y dépose, crée ton œil intérieur, et par-dessus l’épais jeu des flots bleus tu percevras les plaintes de Sirènes ici jadis aux aguets, trirèmes phéniciennes, tartanes turques, et Charon qui s’acharne en forçat aux pagaies. Maria Luisa Spaziani, Chaînes obligatoires in Jardin d’été Palais d’hiver, Choix de poèmes 1954-1992, édition bilingue, Mercure de France, 1994, pp. 86-87. Traduction de l’italien par Patrice Dyerval Angelini. Avant-propos d’Yves Bonnefoy. |
MARIA LUISA SPAZIANI Source ■ Maria Luisa Spaziani sur Terres de femmes ▼ → Notte marina (poème extrait de Geometria del disordine, + une notice bio-bibliographique) ■ Voir | écouter aussi ▼ → (sur repubblica.it) une notice nécrologique sur Maria Luisa Spaziani → (sur rainews.it) une interview (en italien) de Maria Luisa Spaziani par Luigia Sorrentino (mai 2011) |
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Rédigé le 21 août 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)
EMMANUEL HIRIART ■ Voir aussi ▼ → le site d’Emmanuel Hiriart → (sur le site de Jacques André Éditeur) une fiche bio-bibliographique sur Emmanuel Hiriart |
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Rédigé le 20 août 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)
Image, G.AdC SOMMAIRE DU MOIS D’AOÛT 2014 ▪ Terres de femmes ― N° du mois de juillet 2014 ▪ Roselyne Sibille | [L’ombre est une ligne de crête] ▪ Claudine Bohi | Olivier Gouéry [Voici donc le matin] ▪ Marwan Hoss | [J’ai bu l’eau claire de ta bouche] ▪ 4 août 1962 | Mort de Marilyn Monroe ▪ Claire Dumay, Crispations (lecture de Luce Guilbaud) ▪ Jacqueline Persini-Panorias | À l’ombre du figuier ▪ Bruno Grégoire [J’ai pris (…) un papillon de nuit] ▪ Bernard Perroy | [Tu marches] ▪ Roberto Fernández Retamar | Explicación ▪ Jean Le Boël | [Ce lien que nous étions] ▪ Alexandre Hollan & Danièle Faugeras | [La clématite amère] ▪ Isabelle Bancel | Blanc Anthologie Terres de femmes (108) ▪ Martine – Gabrielle Konorski | [Vissée à la plante des pieds] Anthologie Terres de femmes (109) ▪ Marcel Migozzi, Des heures froides (lecture d’Angèle Paoli) ▪ Emmanuel Hiriart | [Je partage mon temps entre deux ou trois mondes] ▪ Maria Luisa Spaziani | Parapsicologia ▪ Sofia Queiros, Normale saisonnière (extraits) ▪ Didier Pobel, Un beau soir l’avenir (lecture de Sylvie Fabre G.) ▪ Stéphan Causse | Cévenne Séranne ▪ Olav H. Hauge | Nous ne voguons pas sur la même mer ▪ Valérie Canat de Chizy | [L’écriture s’étiole] ▪ Thomas Vinau | [Le sommeil est une mer paisible] ▪ Jacques Ancet | [On dit quelqu’un] ▪ Terres de femmes ― N° du mois de septembre 2014 |
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Rédigé le 19 août 2014 | Lien permanent | Commentaires (0)