Ph., G.AdC [SOUS LE PAS D’UNE OMBRE VIVE] Sous le pas d’une ombre vive L’éclat des mots crépite Comme foulée étincelante Au cœur de la forêt Déjà les biches s’éparpillent Sur les feuilles froissées Le silence se chuchote Gorgé des larmes du ciel Sous le pas d’une ombre vive La poésie prend souffle Là-bas au large des nuages Quand la voix de l’aube s’ajuste Muriel Stuckel, L’Insoupçonnée ou presque, éditions Voix d’Encre, 2013, page 81. Peintures de Laurent Reynès. Préface de Bernard Noël. |
MURIEL STUCKEL ■ Muriel Stuckel sur Terres de femmes ▼ → La poétique des failles chez Muriel Stuckel (Chronique d’Isabelle Raviolo) → [Demeure précaire] (autre extrait de L’Insoupçonnée ou presque) → [Ce n’est pas tant] (extrait d’Eurydice désormais) → Le risque de la poésie (extrait d’Eurydice désormais) → [Sous la courbe de la phrase] (extrait de Du ciel sur la paume) → [Trop vif le soleil] (extrait de Petite Suite Rhénane | Kleine Rhein-Suite) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) La poésie échappée ■ Voir aussi ▼ → (sur le site des éditions Voix d’encre) la fiche de l’éditeur sur L’Insoupçonnée ou presque ■ Notes de lecture de Muriel Stuckel sur Terres de femmes ▼ → Jacques Estager, Douceur → Gunvor Hofmo, Tout de la nuit est sans nom → Stéphane Sangral, Circonvolutions |
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