Source [UN CRI VRILLE] Un cri vrille d’autres se morcellent que renvoie un écho surpris. Entre lointain et réel une colline dérobée cernée de cormorans en vol… L’hiver dévoile des ossatures chaotiques plus rageuses que chemins de ronces. Profonde pulsation battements de la nature chant du végétal de l’eau grondeuse… et nous, tout éperdus. Agnès Schnell, En filigrane, l’Ardenne…, poèmes, Éditions de la Société des Écrivains Ardennais, Collection Le chant Litorne, Charleville-Mézières, 2014, pp. 58-59. |
AGNÈS SCHNELL Source ■ Agnès Schnell sur Terres de femmes ▼ → [En apparence rien n’a changé] (un autre extrait d’En filigrane, l’Ardenne…) → Il y a des jours comme ça → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) Présences |
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