Ph., G.AdC POURPRE Les morts sentent-ils encore Le blond désir des tilleuls La houle des œillets roses Qui enchantait les allées
Non l’âme ne peut pas perdre La beauté que tu révèles Ton sang se teint dans la vigne De la pourpre qu’elle aimait
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GÉRARD BOCHOLIER ■ Voir aussi ▼ → (sur le site de la mél, Maison des écrivains et de la littérature) une bio-bibliographie de Gérard Bocholier |
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