Image, G.AdC
[OÙ QUE TU AILLES]
Où que tu ailles, l’humus,
le sable, prends modèle
sur les ondes, allège-toi.
Ne sois que souffles
et vois : une glycine
a débordé le mur.
Ne coupe aucune fleur,
tu t’élargis
dans l’air des cimes.
Pierre Dhainaut, Avril perpétuel de l’âme in Rudiments de lumière, Arfuyen, 2013, page 74.
Retour au répertoire du numéro de juin 2013
Retour à l’ index des auteurs
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.