39 [ELLE A PLEURÉ IMPLORÉ LA MAIN ABSENTE] Elle a pleuré imploré la main absente : c’est étrange de penser que l’amour n’offre pas tout et ainsi préfère-t-elle alors l’amour dans sa fermeté de garder son origine un amour jamais destitué de sa propre éclosion toujours prêt à demeurer dans son apparition première parce qu’il ne peut souffrir de rien toujours sauvé toujours à surgir comme quelque chose qui a gardé sa propre liberté une eau qui nourrit l’arbre
|
NATHALIE RIERA Image, G.AdC ■ Nathalie Riera sur Terres de femmes ▼ → [Trame blondoyante la prairie des mots] (extrait d'Instantanés des géographies de l’amour… ) → Carnet de campagne II (extrait de Puisque beauté il y a) → [dévêtue la main] (extrait de Feeling is first) → Variations d’herbes (note de lecture d’AP) → in angulo (extrait de Variations d’herbes) → Là où fleurs où flèches → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) page aphone où tout est voix (poème inédit) ■ Voir aussi ▼ → (sur Les Carnets d'Eucharis, le site de Nathalie Riera) une lecture de Paysages d’été par Richard Skryzak → (sur Recours au poème) une lecture de Paysages d’été par Marie-Hélène Prouteau |
Retour au répertoire du numéro de juin 2013
Retour à l’ index des auteurs
Commentaires