Ph., G.AdC ALBÂTRE (extrait I. 8)
seule veillant au fond de l’antre nocturne cette forme pansue impénétrable & froide gardant au feu de son énigme drogues & onguents pour huiler nos rêves comme remontant tous les siècles éclairant tous mes visages antérieurs
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GÉRARD TITUS-CARMEL Source ■ Gérard Titus-Carmel sur Terres de femmes ▼ → en traîne d’ocre et de blanc (extrait de Serpentes) → La Nuit au corps → Oppresse du loin montant ■ Voir aussi ▼ → (sur La Pierre et le Sel) Diérèse 58 | Respirations de la poésie |
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Commentaires
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