Ph., G.AdC [CE N’EST PAS TANT] Ce n’est pas tant La pulpe des fleurs Qui du temps premier Nous rend captifs Ce n’est pas tant L’ombre apprivoisée Entre silence capiteux Et souffle discret Ce n’est pas tant C’est tout simplement Ce tant de si peu Ce si peu de temps Qui nous est échu Orphée Tout comme fragile La pulpe des fleurs Sous le pas d’Eurydice Muriel Stuckel, « Sonate de l’abîme », in Eurydice désormais, Voix d’Encre, 2011, page 34. Illustrations de Pierre-Marie Brisson (œuvres). Préface de Hédi Kaddour. |
MURIEL STUCKEL ■ Muriel Stuckel sur Terres de femmes ▼ → Dans la césure de tes poèmes (extrait de L’Insoupçonnée ou presque) → La poétique des failles chez Muriel Stuckel (Chronique d’Isabelle Raviolo) → [Demeure précaire] (autre extrait de L’Insoupçonnée ou presque) → [Sous le pas d’une ombre vive] (autre extrait de L’Insoupçonnée ou presque) → Le risque de la poésie → [Sous la courbe de la phrase] (extrait de Du ciel sur la paume) → [Trop vif le soleil] (extrait de Petite Suite Rhénane | Kleine Rhein-Suite) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) La poésie échappée ■ Voir aussi ▼ → (sur le site de Voix d’encre) la fiche de l’éditeur sur Eurydice désormais → (sur Recours au Poème) « De l’ombre à l'éclat, une sonate de l’entre-deux », une recension de David Schnee sur Eurydice désormais ■ Notes de lecture de Muriel Stuckel sur Terres de femmes ▼ → Jacques Estager, Douceur → Gunvor Hofmo, Tout de la nuit est sans nom → Stéphane Sangral, Circonvolutions |
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