Ph., G.AdC
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THIERRY METZ Source ■ Thierry Metz sur Terres de femmes ▼ → [Braise matinale] → [Je m’en remets aux feuillages] (extrait de Tel que c’est écrit) → [Je suis tombé] (extrait du recueil Terre) → Le Drap déplié (extraits) → [Vers la bien-aimée] → 4 juillet | Thierry Metz, Le Journal d’un manœuvre → 28 août 1993 | Thierry Metz, Sur un poème de Paul Celan ■ Voir aussi ▼ → (dans Le Matricule des Anges, n° 022, janvier-mars 1998) une note de lecture sur Terre → (sur Le tiers livre) Thierry Metz | L’Homme qui penche → (sur remue.net) un dossier Thierry Metz → (sur le site du Matricule des Anges) Entre le silence et le cri → (sur Esprits Nomades) Thierry Metz Le journal d’un suicidé → (sur La Pierre et le Sel) Thierry Metz, Le Carnet d’Orphée (contribution d’Isabelle Lévesque) → (sur le site du Printemps des poètes) Thierry Metz, par Isabelle Lévesque |
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Toujours ce visage, comme une obsession. Je relie ce poème au précédent que vous aviez mis en ligne : Je suis tombé, du recueil Terre. Ce visage comme une modulation d'obscurité et de lumière, une absence, un objet de désir. Un sas entre le monde extérieur et le repli sur soi. Une quête dans le noir des miroirs, une transparence perdue. Un échec toujours. Son regard scrute cette intimité volontairement offerte. Affleure alors une absence, une présence suspendue, un trouble, un secret, une mémoire en suspens, paradoxale, farouche. Visage... lieu d'une apparence énigmatique... mystère orphique. Comment se délivrer de la prison du corps ?
Thierry Metz, un poète majeur.
Rédigé par : Christiane | 16 décembre 2012 à 14:16
Pour Thierry, ce livre que j'ai écrit à l'annonce de sa mort : Buée, publié par les éd. Jacques Brémond.
jgc
Rédigé par : Cosculluela Jean Gabriel | 16 décembre 2012 à 14:37
Merci à Christiane pour ces mots justes où celles et ceux qui ont connu Thierry, qui l'ont accompagné, trouveront une écoute et un regard sans aplomb, juste l'intensité qui vient puis s'efface, se retire, entre présence et absence. Aujourd'hui, Thierry vient s'inscrire encore dans ce qui manque parfois à notre vie, dans notre surdité et dans notre aveuglement face à ce qui passe dans notre vie, à côté de notre vie. Les mots surgissent de l'affront ou de l'accord, de notre force ou de notre fragilité face à l'oubli.
Rédigé par : Cosculluela Jean Gabriel | 16 décembre 2012 à 19:55