Montage photographique, G.AdC Dis-moi plutôt ce qui nous réunit et non ce qui nous sépare, les lieux où nous marchons, les pièces habitées. Un enfant frappe à ma fenêtre. Il est dehors, habillé d’automne et d’hiver. Son baiser me ramène alors que. Alors que. Sans résistance devant la violence de ce qui ne peut être évoqué du bout des doigts, nous restons les gardiennes du jour en nos mains. Blanche, m’écriras-tu beaucoup plus tard. |
Danielle Fournier, Iris, in Danielle Fournier | Luce Guilbaud, Iris, Éditions de l’Hexagone, Montréal, 2012, page 53. Sur les trottoirs petits pas de fougères et de hostas le mouvement des mots d’hiver toutes les filles ont des mères à quitter des terres à découvrir avec des yeux définitifs elle va recoudre ses écailles planter d’autres motifs plus loin que le fleuve.
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Bravo pour ce très bon choix! Pour information , Danielle Fournier a fait une lecture de poésie à la bibliothèque de St Agathon (22200) le mercredi 20 juin 2012 et nous espérons pouvoir la revoir lors du salon du conte et de la poésie les 15, 16 et 17 mars 2013 toujour à St Agathon.
Rédigé par : Isabelle Delemer | 28 novembre 2012 à 08:25