Triptyque photographique, G.AdC [LA POÉSIE NE TRADUIT PAS] La poésie ne traduit pas. Parle avec l’arbre. Protège l’énigme. Est-ce une énigme ? Une courte vue peut-être qui cogne aux choses et ripe. Un mystère. Une ignorance pour mystes. Ne peut sortir de naître. Ne peut quitter n’être. Pleure ou caracole et c’est pareil. Du presque rien qui noie le poisson carnassier le temps qu’on dit qui va. Quand il vient. C’est nous le lieu : maintenant. Puis les poissons cèdent. Main ne peut plus tenir. Le verdict. Au suivant ! Caroline Sagot Duvauroux, Le Livre d’El d’où, José Corti, 2012, page 77. |
CAROLINE SAGOT DUVAUROUX ■ Caroline Sagot Duvauroux sur Terres de femmes ▼ → Le Livre d’El d’où (lecture d’AP) → (dans la galerie Visages de femmes) Le silence serait-il l’enjeu de la parole ? (extrait du Livre d’El d’où) → [Baie](extrait de Canto rodado) → [Être serait-il le reflet d’une hypothèse… ?] (extrait de ’j) → L’eau puissante ? (extrait de Aa Journal d’un poème) → Le Buffre (lecture de Tristan Hordé) → [Je dissone] (extrait de L’Herbe écrit) → Mais avant (extrait du Buffre) → Une source (extrait d’Un bout du pré) → Le Vent chaule (lecture d’Angèle Paoli) ■ Voir | écouter aussi ▼ → (sur le site José Corti) la page consacrée au Livre d’El d’où, de Caroline Sagot Duvauroux → (sur remue.net) « L’intime dehors » (une conversation du 23 août 2012 avec Caroline Sagot Duvauroux) → (sur Ta résonance) Cacophonie vs. polyphonie ou la musicalité de tout dans l’œuvre poétique de Caroline Sagot Duvauroux (par Serge Ritman) |
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