UN PETIT COULOIR Sur le bord de l’eau bleue qui tremble Et voici que je marche sans lanterne Au-devant d’une table dans les étoiles
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Quelle étrange sensation... Cette pièce musicale, écrite par Arvo Pärt Spiegel im Spiegel pour piano et viole, me donne à entendre un enroulement de trois petites notes cristallines autour de ce poème de Jean-Philippe Salabreuil.
Un murmure, un silence, un recueillement.
"Un petit couloir de craie blanche
Sur le bord de l’eau bleue qui tremble..."
ou encore "la lune lointaine" clapotant sur l'eau-nuit de cette photographie qui allonge le temps de la lecture...
Plus que jamais s'unissent ici la poésie, la musique et l'image. Je les reçois simultanément comme les trois petites notes de musique de cet accord parfait qui tintinnabulent dans mes pensées.
Rédigé par : christiane | 24 septembre 2012 à 13:41