Il y a quarante-quatre ans, le 25 septembre 1972, Alejandra Pizarnik ingère une dose de psychotropes qui lui est fatale. Dans sa chambre, sur le petit tableau noir où elle inscrivait à la craie des ébauches de poèmes, on retrouva ces vers : Criatura en plegaria
rabia contra la niebla escrito contra en la el opacidad crepúsculo no quiero ir nada más que hasta el fondo oh vida oh lenguaje oh Isidoro Septiembre de 1972
|
■ Alejandra Pizarnik sur Terres de femmes▼ → Œuvre poétique (note de lecture d’AP) → Cahier jaune et L’Enfer musical (note de lecture d’AP) → Les Aventures perdues (extraits + notice biographique) → El olvido (poème extrait de Les Travaux et les Nuits) → Fiesta (poème extrait de Les Travaux et les Nuits) → Invocations (poème extrait de Les Travaux et les Nuits) → La lumière tombée de la nuit (poème extrait des Aventures perdues) → La parole du désir → Presencia de sombra (extrait de L'Autre Rive) → Quelqu’un tombe dans sa première tombée (extraits de Textes d’Ombre) → 22 mai 1966 | Journal d’Alejandra Pizarnik → (dans la galerie Visages de femmes) « L’Obscurité des eaux » (poème extrait de L’Enfer musical) ■ Voir | écouter aussi ▼ → (sur Esprits Nomades) une page sur Alejandra Pizarnik → (sur le site de France Culture) Choix de poèmes et d’extraits du Journal d’Alejandra Pizarnik (fiction diffusée la première fois le 19 septembre 2012) |
Retour au répertoire du numéro de septembre 2012
Retour à l' index de l'éphéméride culturelle
Retour à l' index des auteurs
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.