Image, G.AdC une frontière se tisse de non-dits qui ne nous appartiennent pas
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BRIGITTE GYR ■ Brigitte Gyr sur Terres de femmes ▼ → Incertitude de la note juste (lecture de Mireille Fargier-Caruso) → [Pleinement écloses enfin] (extrait d’Avant je vous voyais en noir et blanc) → Parler nu (lecture de Cécile Oumhani) → [quand tu as décidé d’en finir] (extrait d’Incertitude de la note juste) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) au plus gris du corps ■ Voir aussi ▼ → (sur le site de la SGDL) une note de Mathias Lair sur Brigitte Gyr et Parler nu → (sur le site du Printemps des poètes) une fiche bio-bibliographique sur Brigitte Gyr → (sur le site des éditions Lanskine) une page sur Parler nu de Brigitte Gyr |
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Une présence silencieuse. Méditation. Confiance. Entendre le silence de l'aimé. Liberté. Patience. Le langage ? Pas toujours besoin de formuler... le confier à l'oiseau, au nuage, à la lune et ses étoiles, à la nuit et à l'aube. Double oscillation de la douceur. Présences dans l'absence... Écouter le chuchotis du bleu...
Rédigé par : christiane | 17 juin 2012 à 08:58
Non-dits... silence pesant qui fait des vagues, qui contient du mal... ce qui ne veut pas se dire.
Inquiétude d'être hors du secret, de quelque chose d'occulté. Poids dans la relation qu'elle soit familiale ou amicale...
Comme une part manquante... L'imagination comble le manque... La parole non partagée meurt.
Alors que le silence peut être une oscillation très douce quand il est bonheur d'être ensemble, le langage au repos.
Rédigé par : christiane | 17 juin 2012 à 13:19