Ph., G.AdC [UN BRUIT DE CHAÎNE COURT SUR LA MER] 15:39 Jean-François Agostini, « En déplaçant l’échelle », in Généalogie de l’algue, Éditions Jacques Brémond, 2011, page 57. Prix de la Ville de Béziers 2010. |
JEAN-FRANÇOIS AGOSTINI ■ Jean-François Agostini sur Terres de femmes ▼ → [Décembre] → Face au mur → JFA | Haïku → Nager… (+ notice bio-bibliographique) ■ Voir aussi ▼ → (sur le site Poésie française) quelques poèmes de Jean-François Agostini → (sur le site de la Revue d’art et de littérature, musique, Numéro 45 - décembre 2008) d’autres poèmes de Jean-François Agostini → (sur Levure littéraire n° 1) plusieurs poèmes de Jean-François Agostini → (sur la revue numérique de littérature Secousse, Cinquième Secousse, Éditions Obsidiane, octobre 2011) En déplaçant l’échelle (quatre poèmes de Jean-François Agostini) → (sur Gattivi Ochja) plusieurs poèmes de Jean-François Agostini traduits en corse par Stefanu Cesari |
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Ce poème est très beau. J'aime ce bruit de chaîne, l'ancre qui touche le fond, la tour où ne brûle plus aucun feu. Mais il me rend triste à cause du mot intrus... L'île peut être aimée, respectée, contemplée en silence par des... intrus. Elle est aussi terre de rencontres chaleureuses, d'amitiés sûres.
Mais je comprends l'exaspération des amoureux de la Corse quand des hordes d'estivants -parfois peu respectueux de la beauté des lieux et de son calme- envahissent le maquis, les routes, les criques...
J'aime beaucoup le poème qui se dénoue sur la grande ombre blanche.
Rédigé par : christiane | 28 avril 2012 à 23:08
Je découvre votre blog et j'en suis ravie. J'ai aimé lire ce poème et je reviendrai car, comment vivre sans poèmes ? Merci beaucoup d'avoir ensoleillé ce dimanche matin.
A bientôt.
Rédigé par : Bonheur du Jour | 29 avril 2012 à 07:33