Commentaires sur <BR><FONT COLOR="#330033">Pierre Cendors, <EM>Les Fragments Solander</EM> </FONT COLOR><DIV ALIGN="RIGHT"><BR><FONT COLOR=GRAY> par Angèle Paoli</FONT COLOR></DIV ALIGN><BR>TypePad2012-03-04T10:25:56ZAngèle Paolihttps://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/tag:typepad.com,2003:https://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2012/03/pierre-cendors-les-fragments-solander/comments/atom.xml/Sébastien Marcheteau a commenté sur '<BR><FONT COLOR="#330033">Pierre Cendors, <EM>Les Fragments Solander</EM> </FONT COLOR><DIV ALIGN="RIGHT"><BR><FONT COLOR=GRAY> par Angèle Paoli</FONT COLOR></DIV ALIGN><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e2017c317bb791970b2012-08-26T17:04:48Z2012-08-26T18:22:41ZSébastien Marcheteauhttp://www.labyrinthiques.netJe viens de finir Les Fragments. Votre lecture est des plus justes... Pierre Cendors est pour moi la découverte littéraire...<p><br />Je viens de finir <em>Les Fragments.</em> Votre lecture est des plus justes... Pierre Cendors est pour moi la découverte littéraire des ces dernières années. Un univers personnel très dense et une langue très protéiforme. Je me suis laissé envouter.<br />
J'ai retenu aussi cette phrase extraite de <em>L'Homme caché</em> qui, à mon sens, traverse son oeuvre (je viens de finir aussi <em>Adieu à ce qui vient</em>) : "De quelle idée, suis-je la biographie ?". On pourrait rajouter "De quelle cité, suis-je la cartographie ?", tant la question du lieu est essentielle chez Cendors.</p>
<p>Merci pour cette lecture, Angèle.<br />
<br /><br /></p>Martine a commenté sur '<BR><FONT COLOR="#330033">Pierre Cendors, <EM>Les Fragments Solander</EM> </FONT COLOR><DIV ALIGN="RIGHT"><BR><FONT COLOR=GRAY> par Angèle Paoli</FONT COLOR></DIV ALIGN><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e201630275b426970d2012-03-05T10:16:34Z2012-03-05T10:16:34ZMartinehttp://www.allerauxessentiels.comJe ne connais pas ces Fragments, mais je suis toujours sous le charme de son roman Engeland, dont l'intrigue se...<p><br />Je ne connais pas ces <em>Fragments,</em> mais je suis toujours sous le charme de son roman <em>Engeland</em>, dont l'intrigue se situe à Berlin... "J'avais besoin de voir l'aube se lever sur la mer, de redonner un fond blanc à ma vie", p. 149... "Comment pourrais-je croire à un destin ? J'ai l'impression d'être invisible à la vie.", p. 44... et entre ces mots profonds, toujours cet univers intrigant. Merci pour cette belle note de lecture, chère Angèle.<br />
<br /><br /></p>