« ces cris finissent à la fenêtre dehors à l’envers du dedans » Ph., G.AdC À LA FENÊTRE Parfois étoile, jusqu’au bout un chagrin planté en dedans avançant, frêle, cependant jusqu’aux angles de la fenêtre : robe de drap blanc, tiare d’argent, de mots sertie, de sang, de cris. Tous ces cris sont silence ici longs, ne résonnent plus ici, ces cris finissent à la fenêtre dehors à l’envers du dedans dans un conte de feu et de cendres où de l’autre côté du miroir le vieillard épousait l’enfant. Cécile A Holdban, Ciel passager, L’Échappée Belle édition, 2012, page 56. |
CÉCILE A HOLDBAN ■ Cécile A Holdban sur Terres de femmes ▼ → Ciel passager (présentation publique de Thierry Gillybœuf) → Hiéroglyphes (poèmes extraits du recueil L’Été) → [Il n’est pas d’autre lieu que celui de l’absent] (poème extrait de La Route de sel) → Poèmes d’après suivi de La Route de sel (lecture d’Isabelle Lévesque) → Poèmes d’après suivi de La Route de sel (lecture d’Emmanuel Merle) → Toucher terre (lecture d'AP) → Îles (poème extrait du recueil Toucher terre) → [Suspendre ma voix] (poème extrait du recueil Un nid dans les ronces) → Xénie → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) [Je ne tuerai point] ■ Voir aussi ▼ → (sur le site de l’échappée belle édition) une page sur Ciel passager de Cécile A Holdban |
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