Source [CE N’EST QUE L’ENFANCE] Ce n’est que l’enfance Il y a cette dévastation Ce mot cette peur dont le manque a bougé Que vitesse et dunes connaissent Quand le commencement surprend Et jamais l’intégrité ne s’interrompt Avec l’écho qui suit les paysages Éboulis chaque fois si réel Comme t’approcher m’envahit Comme l’espoir nomme L’espoir dans la blancheur d’un parfum Où l’aveuglement ne se retourne pas Bernard Vargaftig, Ce n’est que l’enfance, Arfuyen, 2008, page 47. Prix de littérature Nathan Katz 2007. |
BERNARD VARGAFTIG ■ Bernard Vargaftig sur Terres de femmes ▼ → [L’avènement s’éparpille] (poème extrait de Je n’aime que l’énigme) → [Mon chant mon bonheur] (poème extrait de Chez moi partout) → [Quelquefois je prends ta place] ■ Voir aussi ▼ → (sur le site des éditions Arfuyen) une notice bio-bibliographique sur Bernard Vargaftig → (sur Mediapart) un hommage de Pascal Maillard à Bernard Vargaftig → (sur P/oésie, le blog d'Alain Freixe) In memoriam Bernard Vargaftig → (sur Les Carnets d’Eucharis) un hommage à Bernard Vargaftig → (sur Lumière des jours, le blog de Jacques Ancet) Quatre notes sur Bernard Vargaftig |
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Quelle douleur... quelle douceur... quelle lumière...
Rédigé par : christiane | 10 février 2012 à 23:05
Une profondeur pure et puissante que ce texte
Merci pour cette émotion
Un merci, blanc -tout blanc depuis Marseille vers la Corse qui semble aussi recouverte
Amitiés à tous les deux
Rédigé par : S.-E. S | 11 février 2012 à 10:30