[JE REGARDE L’ARBRE DRESSÉ] « Il y a des questions dans l’opacité des murs » Ph., G.AdC Je regarde l’arbre dressé Jusqu’au rien Au bout de l’écorce À l’arrêt Comme un chien devant la mort * Le monde Comme depuis une île Sans accès On est dedans comme dehors On se dit que le temps se referme On cherche un sens au fond de soi Un langage au fond du temps * Il y a des questions dans l’opacité des murs
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LIONEL JUNG-ALLÉGRET ■ Lionel Jung-Allégret sur Terres de femmes ▼ → [Écris ce que tu sais] (poème extrait de Ce dont il ne reste rien) → [Derrière la porte ouverte] (poème extrait de Derrière la porte ouverte) → Derrière la porte ouverte (lecture d’Isabelle Lévesque) → [J’ai vu les grandes digues au loin] (poème extrait d’Écorces) → [Je suis celui qui cherche des secrets] (poème extrait d’Un instant appuyé contre le vent) → Parallaxes (lecture d’Angèle Paoli) → [Il restait dans la lumière des grandes voiles affalées] (poème extrait de Parallaxes) → Un instant appuyé contre le vent (lecture d’Angèle Paoli) ■ Voir aussi ▼ → (sur le site de la revue Phœnix) une note biographique sur Lionel Jung-Allégret → (dans le n° 13 de la revue littéraire & artistique temporel) une note de lecture de Nelly Carnet sur le recueil Écorces |
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