Ph., G.AdC
|
MURIEL STUCKEL ■ Muriel Stuckel sur Terres de femmes ▼ → Dans la césure de tes poèmes (extrait de L’Insoupçonnée ou presque) → La poétique des failles chez Muriel Stuckel (Chronique d’Isabelle Raviolo) → [Ce n’est pas tant] → [Demeure précaire] (autre extrait de L’Insoupçonnée ou presque) → [Sous le pas d’une ombre vive] (autre extrait de L’Insoupçonnée ou presque) → Le risque de la poésie → [Sous la courbe de la phrase] (extrait de Du ciel sur la paume) → [Trop vif le soleil] (extrait de Petite Suite Rhénane | Kleine Rhein-Suite) ■ Notes de lecture de Muriel Stuckel sur Terres de femmes ▼ → Jacques Estager, Douceur → Gunvor Hofmo, Tout de la nuit est sans nom → Stéphane Sangral, Circonvolutions |
Retour au répertoire du numéro d’ octobre 2011
Retour au Sommaire de l'anthologie poétique Terres de femmes
Retour à l’ index des auteurs
Le poème comme une amoureuse capture de ce qui toujours cherche à s'échapper hors portée de soi. Un poème laisse toujours repartir sa tendre proie, de fait il n'a pas le choix. En poésie, la chasse gardée n'existe pas. Les mots sont sauvages et agiles, fragiles aussi. Le poème de Muriel Stuckel que je trouve très beau indique cette manière si familière de corps à corps immatériel entre la poète et son désir d'écrire. Scène primitive s'il en est. Auto-engendrement ?
Rédigé par : Mth Peyrin | 18 octobre 2011 à 09:08