Ph., G.AdC LA FEMME DIT SON PREMIER JOUR La femme dit son premier jour dans l’immobile l’apogée autre côté de l’inconnu et maintenant presque en rage tu me parles de toi des assauts sur le sol du tournoi frénétique sans l’angoisse d’avant Faut-il ainsi jouer ? Évidemment les mots sont trop moitié du monde sans cesse découpé faut-il ainsi tiédir l’instant de l’autre face pris au hublot dérange tant est doux le silence où se frottent les arbres L’être d’os soulève la nuit à la croisée où l’infini augmente l’oiseau sort fragmenté
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MARIE ÉTIENNE Source ■ Marie Étienne sur Terres de femmes ▼ → L’aigrette (extrait du recueil Le Livre des recels) → Fragments de fresque → Haute lice (note de lecture d'AP) → Marie Étienne : organiser l’indicible (lecture de Patricia Godi) → (dans l'Anthologie poétique Terres de femmes) Marie Étienne | Ce qui reste → 22 novembre 2009 | Marie Étienne, Les Yeux fermés (extrait des Yeux fermés) |
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