Commentaires sur <BR>Claudine Bohi | Le funambule sans son fil<BR><BR>TypePad2010-09-21T09:40:51ZAngèle Paolihttps://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/tag:typepad.com,2003:https://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2010/09/claudine-bohile-funambule-sans-son-fil/comments/atom.xml/Claudine Bohi a commenté sur '<BR>Claudine Bohi | Le funambule sans son fil<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e2013487924a9e970c2010-09-22T08:58:44Z2010-09-22T08:58:44ZClaudine BohiCes références à E. Glissant et au saut périlleux des acrobates me touchent vraiment ! Vivre, parfois ressemble à un...<p><br />Ces références à E. Glissant et au saut périlleux des acrobates me touchent vraiment !<br />
<br />Vivre, parfois ressemble à un saut périlleux sans filet.<br />
Ce risque, parce que le langage est toujours plus grand que nous-même, ce risque, les mots l'apprivoisent.<br />
"partagée de paroles<br />
allumant le silence<br />
partagée sans nom..."<br />
<br />Claudine Bohi<br />
<br /><br />
</p>Agenda culturel de TdF a commenté sur '<BR>Claudine Bohi | Le funambule sans son fil<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e20134878eb7d5970c2010-09-21T20:19:41Z2010-09-21T20:19:41ZAgenda culturel de TdFhttp://www.terresdefemmes.comReprise du Mercredi du Poète à la Brasserie Le François-Coppée à Paris. Claudine Bohi, «Le funambule sans son fil». Présentation...<p><br />Reprise du <strong>Mercredi du Poète</strong> à la Brasserie Le François-Coppée à Paris. <br />
<strong>Claudine Bohi, «Le funambule sans son fil».</strong><br />
Présentation par Jean-Paul Giraux. Lectures. Débat avec la salle. Signature.<br />
Mercredi 22 septembre 2010 à 15h00<br />
à la brasserie Le François-Coppée<br />
1, boulevard du Montparnasse<br />
75006 Paris<br />
Métro Duroc<br />
<br /><br />
</p>christiane a commenté sur '<BR>Claudine Bohi | Le funambule sans son fil<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e20133f46c31c5970b2010-09-21T11:27:42Z2010-09-21T11:27:42ZchristianeC'est très très beau cette écriture murmurante, frôlant ce poème premier qui s'est perdu dans le creux de la terre....<p><br />C'est très très beau cette écriture murmurante, frôlant ce poème premier qui s'est perdu dans le creux de la terre. Seuls les poètes peuvent entendre ce grondement sourd qui bouge sous l'écorce des choses et se lancer funambules incertains, dans les ombres impossibles du nom pour révéler ce qui a disparu.<br />
Je viens d'écouter Édouard Glissant, sourcier du langage poétique. Juste ce qu'il me fallait pour "entendre" la voix de Claudine Bohi.<br />
<br /><br /></p>Bénédicte Monod a commenté sur '<BR>Claudine Bohi | Le funambule sans son fil<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e20133f46c07c1970b2010-09-21T10:51:28Z2010-09-21T10:51:28ZBénédicte Monod"Là même où les acrobates font le saut périlleux "<p>"Là même où les acrobates<br />
font le saut périlleux "</p>