Ph., G.AdC
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C'est comme un texte repère, je veux dire que de son corps, il marque le temps. Contre, on y fait escale. On reprend son souffle.
Et puis, quand on est reposé, peut-être alors, on voit qu’il touche aussi la décomposition des vivants.
Rédigé par : Johal | 27 février 2010 à 12:46
Je lis et relis ces mots. Je lis et relis L'Adresse. Je lis et relis Hypnovel.
Parfois avec déchirure, toujours avec la familiarité de ce qui est vrai . Merci.
Rédigé par : florence brison | 18 août 2012 à 15:40