Ph., G.AdC
TES VAGUES
Tes vagues
voudront-elles de moi
lorsque mes larmes
dociles
s’offriront à la mer
Ton horizon
s’ouvrira-t-il à mon regard
comme à ta lumière
mes mains.
Samira Negrouche, Iridienne, Éditions Color Gang, Collection Luminaires, Lyon, 2005, page 59. Gravures sur calque d’Yves Olry.
NOTICE BIO-BIBLIOGRAPHIQUE
Samira Negrouche est née le 13 septembre 1980 à Alger, où elle vit. Médecin, poète et traductrice de poésie arabe, Samira Negrouche préside, à Alger, l’association culturelle Cadmos, créée en septembre 1999, qui travaille autour du patrimoine culturel méditerranéen et de la poésie moderne par l’organisation de divers événements littéraires nationaux et internationaux, dans une optique d’édition et de traduction.
Samira Negrouche a publié plusieurs recueils de poésie, dont :
― Faiblesse n’est pas de dire, éditions Barzakh, Alger, mars 2001 ;
― L’Opéra cosmique, Éditions El Ikhtilef, mars 2003 ; rééd. Éditions des Lettres Char-nues, Blida, octobre 2003 ;
― À l’ombre de Grenade, Éditions A.P l’étoile, Toulouse, novembre 2003 ; rééd. éditions des Lettres Char-nues, Blida, avril 2006 ;
― Iridienne, Color Gang Édition, Collection Luminaires, Lyon, 2005 ;
― Cabinet secret, livre d’artiste avec Enan Burgos, Color Gang Édition, Lyon, 2007 ;
― À chacun sa révolution, édition bilingue français/italien, traduction de Giuseppe Napolitano, édition la stanza del poeta, Naples, 2007 ;
― Le Dernier Diabolo, éditions Chèvre Feuille Étoilée, Montpellier, 2010 ;
― Le Jazz des oliviers, éditions du Tell, Blida, 2010. Illustrations d’Yves Olry ;
― Six arbres de fortune autour de ma baignoire, éditions Mazette, 2017 ;
― Quai 2|1, Partition à trois axes, I, éditions Mazette, 2019 ;
― Alba Rosa, éditions Color Gang, 2019 ;
― Traces, Fidel Anthelme X, Collection “La Motesta”, Marseille, 2021. Photographies de Nathalie Postic.
Au coeur des vagues, il y a...
un nid de plumes pour Icare
au coeur du vent, il y a...
la source salée des larmes
au coeur des mots, il y a...
la mémoire d'une esquisse...
Rédigé par : Christiane | 17 septembre 2009 à 08:36
Il y a ... Il y a... Il y a .
Il y a tout cela qui console de l'éloignement et préserve le rêve. Contre le chagrin et l'épuisement.
Rédigé par : Angèle Paoli | 19 septembre 2009 à 19:47
bonjour,
je suis poétesse sous les décombres. J'admire votre courage, et j'apprécie votre poésie. Donnez-moi votre main ! Je veux bien sortir de mon obscurité.
la corsaire.
Rédigé par : badia affane | 14 mai 2010 à 14:02
Bonjour et un grand merci pour votre recueil de poésies Le Jazz des oliviers - j'aime beaucoup -
Notre bouquinerie nous a offert de belles rencontres et de très belles lectures.
Amitiés livresques,
Christiane Philippe Ribeyre
Bouquinerie Le Tropique à Saint-Etienne
Rédigé par : christiane ribeyre | 13 mars 2012 à 14:17