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Rédigé le 19 septembre 2009 | Lien permanent | Commentaires (3)
Ph., G.AdC
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GUY GOFFETTE ![]() Ph. D.R. Source Voir aussi : - (sur Poezibao) une fiche bio-bibliographique sur Guy Goffette ; - (sur Terres de femmes) Guy Goffette/Et si… ; - (sur Terres de femmes) Guy Goffette/Jalousie; - (sur Terres de femmes) Guy Goffette/Je me disais aussi… ; - (sur Terres de femmes) Guy Goffette/L’attente. |
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Rédigé le 18 septembre 2009 | Lien permanent | Commentaires (2)
Source
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EVA ALMASSY ![]() Image, G.AdC Voir aussi : - (sur Terres de femmes) Eva Almassy, Autobiographie d'un fantôme - le blog Petit éloge des petites filles |
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Rédigé le 17 septembre 2009 | Lien permanent | Commentaires (4)
Ph., G.AdC
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SAMIRA NEGROUCHE Image, G.AdC ■ Samira Negrouche sur Terres de femmes ▼ → [Des sillons se creusent](extrait du Jazz des oliviers) → [J’aborde la plus haute rive](extrait de Quai 2 | 1) → Six arbres de fortune autour de ma baignoire (lecture d’AP) → [Tu ne te résignes pas] (extrait de Six arbres de fortune autour de ma baignoire) → [Un doigt réaligne les fils] (extrait de Traces) → (dans l'anthologie poétique Terres de femmes) Il se peut ■ Voir | écouter aussi ▼ → (sur Artpoésie) une sélection de poèmes extraits du recueil À l’ombre de Grenade → (sur YouTube) Samira Negrouche - Portrait d'une poétesse (Voix de la Méditerranée, Lodève, juillet 2011. Réalisation de Sonia Viel. Propos recueillis par Thierry Renard) |
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Rédigé le 16 septembre 2009 | Lien permanent | Commentaires (4)
Ph., G.AdC
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GÉRALD NEVEU ■ Gérald Neveu sur Terres de femmes ▼ → 3 mai 1948 | Gérald Neveu, Du même côté ■ Voir aussi ▼ → (sur Esprits nomades) Gérald Neveu, une fournaise obscure → (sur enjambées fauves) Quelques pas encore (poème extrait d’Une solitude essentielle) |
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Rédigé le 15 septembre 2009 | Lien permanent | Commentaires (1)
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Rédigé le 14 septembre 2009 | Lien permanent | Commentaires (3)
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Rédigé le 12 septembre 2009 | Lien permanent | Commentaires (1)
Ce n'était plus une rue mais un monde, un espace-temps de pluie de cendres et de presque nuit. Il marchait vers le nord dans les gravats et la boue et des gens le dépassaient en courant, avec des serviettes de toilette contre la figure ou des vestes par-dessus la tête. Ils pressaient des mouchoirs sur leur bouche. Ils avaient des chaussures à la main, une femme avec une chaussure dans chaque main, qui le dépassait en courant. Ils couraient et ils tombaient, pour certains, désorientés et maladroits, avec les débris qui tombaient autour d'eux, et il y avait des gens qui se réfugiaient sous des voitures.
Le grondement était encore dans l'air, le fracas de la chute. Voilà ce qu'était le monde à présent. La fumée et la cendre s'engouffraient dans les rues, explosaient au coin des rues, des ondes sismiques de fumée, avec des ramures de papier, des feuillets standard au bord coupant, qui planaient, qui voltigeaient, des choses d'un autre monde dans le linceul du matin.
Il était en costume et portait une mallette. Il avait du verre dans les cheveux et sur le visage, des éraflures marbrées de sang et de lumière. Il longea le panneau Breakfast Special et ils continuaient à courir alentour, des policiers et des volontaires de la garde nationale qui couraient, la main sur la crosse du revolver pour maintenir l'arme en place.
À l'intérieur les choses étaient lointaines et immobiles, là où il était censé être. Cela se passait partout autour de lui, une voiture à moitié enfouie sous des débris, les fenêtres fracassées avec des bruits qui en sortaient, des voix radiophoniques qui grésillaient devant le désastre. Il voyait courir des gens qui ruisselaient, le corps et les vêtements trempés d'eau des bouches d'arrosage. Il y avait des chaussures abandonnées dans la rue, des sacs à main et des ordinateurs portables, un homme assis sur le trottoir qui crachait du sang. Des gobelets en carton voletaient étrangement.
Voilà ce qu'était aussi le monde, des silhouettes aux fenêtres, à trois cents mètres du sol, qui basculaient dans l'espace, et la puanteur du kérosène en feu, et le déchirement ininterrompu des sirènes dans l'air. Le bruit était partout où ils couraient, un bruit stratifié qui s'amassait autour d'eux, et il s'en éloignait et s'en rapprochait en même temps.
Puis il y eut autre chose, en dehors de tout cela et qui n'en faisait pas partie, séparé, et qu'il regarda descendre. Une chemise descendait des profondeurs de la fumée, une chemise voltigeait et planait dans la lumière chiche puis poursuivait sa chute, en direction du fleuve.
Ils couraient et ils s'arrêtaient, certains, flageolant là sur leurs jambes, essayant d'aspirer un peu d'air arraché à la fournaise et aux cris d'effroi incrédule, aux jurons et aux hurlements creux, et aux tombereaux de papier dans les airs, contrats, curriculum vitae qui passaient au vol, miettes intactes de business emportées par le vent.
Don DeLillo, L'Homme qui tombe, Actes Sud, 2008, pp. 11-12. Roman traduit de l'américain par Marianne Véron.
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Rédigé le 11 septembre 2009 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ph., G.AdC
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ANTONELLA ANEDDA ![]() Source ■ Antonella Anedda sur Terres de femmes ▼ → février, nuit → mars, nuit → mai, nuit → octobre, nuit → novembre, nuit → 13 décembre **** | Fête de sainte Lucie (décembre, nuit) → Archipel → Avant l’heure du dîner (+ notice bio-bibliographique) → Le dit de l’abandon → Frontières (extrait d’Historiae) → Per un nuovo inverno → Ritagliare → S → 10 février 2013 | Antonella Anedda, Senza nome. Sartiglia (extrait de Salva con nome) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) Salva con nome → (dans la Galerie « Visages de femmes ») le portrait d' Antonella Anedda (+ deux poèmes extraits de Nomi distanti et de Notti di pace occidentale) ■ Voir aussi ▼ → les pages que le site Italian Poetry a consacrées à Antonella Anedda → (sur Poetry International Web) un dossier Antonella Anedda → (sur Niederngasse 16, janvier-mars 2006) un entretien (en italien) avec Antonella Anedda → (sur Her circle ezine) Antonella Anedda: Encounters with Silence, the Page, and the World (7 mars 2008) → (sur La dimora del tempo sospeso) de longs extraits (en italien) des différents recueils d'Antonella Anedda → (sur books.google.com) d'autres larges extraits de Notti di pace occidentale → (sur Progetto Babele) une interview (en italien) d'Antonella Anedda par Pietro Pancamo ■ Voir | écouter ▼ → (sur Lyrikline) plusieurs poèmes extraits de Residenze invernali, de Notti di pace occidentale et de Salva con nome, dits par Antonella Anedda |
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Rédigé le 11 septembre 2009 | Lien permanent | Commentaires (1)
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Rédigé le 11 septembre 2009 | Lien permanent | Commentaires (1)