Commentaires sur <BR>1<SUP>er</SUP> août 1912 | Pierre Bonnard à la Galerie Bernheim-Jeune<BR><BR>TypePad2009-08-01T15:55:06ZAngèle Paolihttps://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/tag:typepad.com,2003:https://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2009/08/1er-ao%C3%BBt-1912pierre-bonnard-%C3%A0-la-galerie-bernheim-jeune/comments/atom.xml/Agenda culturel de TdF a commenté sur '<BR>1<SUP>er</SUP> août 1912 | Pierre Bonnard à la Galerie Bernheim-Jeune<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e20120a5240fa4970c2009-08-06T10:05:13Z2009-08-06T10:05:13ZAgenda culturel de TdFhttp://www.terresdefemmes.comLe Musée de Lodève présente, du 20 juin au 1er novembre 2009, une importante exposition intitulée « BONNARD Guetteur sensible...<p><br />Le Musée de Lodève présente, du 20 juin au 1er novembre 2009, une importante exposition intitulée « BONNARD Guetteur sensible du quotidien ».<br />
Pour en savoir plus, cliquer <a href="<a" href="<a" rel="nofollow">http://www.lodeve.com/index.php/article/archive/176/>ICI</a>.</a><br />
<br /><br /></p>Christiane a commenté sur '<BR>1<SUP>er</SUP> août 1912 | Pierre Bonnard à la Galerie Bernheim-Jeune<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e201157160f56f970c2009-08-03T06:51:59Z2009-08-03T06:51:59ZChristiane Oui et c'est cela le miracle, cette transmutation, par l'amour, de toute peine en ce ruissellement de lumière, cette dilatation...<p>Oui et c'est cela le miracle, cette transmutation, par l'amour, de toute peine en ce ruissellement de lumière, cette dilatation de la joie... Le réel se disperse isolant par mille reflets les scintillements et les éblouissements d'une âme de poète...</p>Angèle Paoli a commenté sur '<BR>1<SUP>er</SUP> août 1912 | Pierre Bonnard à la Galerie Bernheim-Jeune<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e20115715fe5b7970c2009-08-02T22:46:52Z2009-08-02T22:46:52ZAngèle Paolihttp://www.terresdefemmes.comOui,Christiane, vous avez raison de nous apporter cet autre regard. Ce que dit de son oncle Charles Terrasse est probablement...<p><br />Oui,Christiane, vous avez raison de nous apporter cet autre regard. Ce que dit de son oncle Charles Terrasse est probablement vrai. Il n'empêche. L'impression qui reste gravée dans ma mémoire, celle qui l'emporte sur toute autre, c'est cette explosion de la lumière alliée au sentiment dominant du bonheur. De l'exposition consacrée à Bonnard en 2006, je revois les jardins mouvants dans la lumière et, tout au bout de cette traversée, ce mimosa en fleurs, éclatant dans ses ors. Je me souviens de l'intense jubilation qui m'a accompagnée tout au long de ce parcours de l'oeuvre picturale de Pierre Bonnard. Et je crois bien que je n'étais pas la seule à l'avoir éprouvée. <br />
<br /><br /> </p>Christiane a commenté sur '<BR>1<SUP>er</SUP> août 1912 | Pierre Bonnard à la Galerie Bernheim-Jeune<BR><BR>'tag:typepad.com,2003:6a00d8345167db69e20115715cbc3f970c2009-08-01T20:37:42Z2009-08-01T20:37:42ZChristiane Dans ce ruissellement de bleus, de roses et d'ors qui aquarellent ses huiles, dans cette fête des couleurs et l'aisance...<p>Dans ce ruissellement de bleus, de roses et d'ors qui aquarellent ses huiles, dans cette fête des couleurs et l'aisance fluide des touches, tant ont pensé, comme Gallimard, à une sorte d'improvisation liée à une joie de vivre éblouie,à un émerveillement continu. Je regarde, en écrivant ces lignes, les derniers autoportraits, peints après la mort de Marthe. Il a les yeux baissés et ne regardent plus le monde, il entre dans sa peinture. Le regard est intérieur et sourd cette mélancolie que l'on sentait déjà dans les frémissements de sa peinture. Cet homme solitaire, libre et inclassable, ce peintre de la lumière avait ses ombres. Son neveu, Charles Terrasse écrira de lui :<br />
"Ce peintre qui ne veut peindre que des bonheurs n'est pas l'homme que l'on pourrait croire. Il est souvent rêveur. il promène sur le monde un regard qui ne lui laisse échapper aucune de ses douleurs, aucune de ses incompréhensibles lois. Il souffre souvent de toute cette souffrance dont nous sommes perpétuellement entourés."<br />
Carnets de marche...</p>