Aquatinte numérique, G.AdC
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PIERO BIGONGIARI Piero Bigongiari, né à Navacchio (Province de Pise) le 15 octobre 1914, mort à Florence le 7 octobre 1997, toscan, exact contemporain de Mario Luzi, appartient comme lui à cette génération de poètes italiens que l’on qualifie encore, d’une manière si peu appropriée, d’« hermétistes florentins ». Car tout l’œuvre de Piero Bigongiari, des Mura di Pistoia (1958) aux dernières pages de Il silenzio del poema (1997), s’emplit du clair écho et des reflets sensibles du monde, du flux et du reflux du temps, d’une allégeance à la pérennité de la Terre et de la conscience de la fugacité de l’être : chaque jour, « j’attends le gage de mon jour futur » (d’après une note d’Antoine Fongaro). ■ Piero Bigongiari sur Terres de femmes ▼ → Nice Pisa → 27 août 1967 | Piero Bigongiari, Il fanciullo uscito dal mare ■ Voir aussi ▼ → (sur enjambées fauves) plusieurs poèmes extraits de Ni terre ni mer → (sur Le Scriptorium) trois poèmes extraits des Remparts de Pistoia → (sur CristinaCampo.it) une bio-bibliographie de Piero Bigongiari + une sélection de poèmes |
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Tout est en harmonie : le poème, l'aquatinte de Guidu, la musique... j'aime beaucoup cette hirondelle vagabonde émerveillée du soleil, de liberté et de cette terre de Toscane, mais n'oubliant pas la route de retour vers la tendresse...
Rédigé par : Christiane | 15 avril 2009 à 18:36